1. Léo ou la Découverte (6)


    Datte: 20/08/2017, Catégories: Divers,

    ... regardant dans les yeux. Et la reprend tout entier dans sa bouche. La sensation est incroyable. Je me demande comment j’ai pu vivre aussi longtemps sans la connaître. Nouveau mouvement de tête. Toujours personne ne nous prête la moindre attention. Ce n’est pas normal, mais je m’en fiche. Je ne veux surtout pas qu’elle s’arrête de sucer. Je repose les yeux sur elle mais elle n’est plus là. Plus personne n’est là, d’ailleurs. Je ne suis même plus dans la salle de cours. Je suis dans une clairière entourée d’arbres aux branches mortes. Complètement nu, toujours en érection. Je retrouve Laurène. Elle est à quatre pattes sur le sol, complètement nu. Elle m’offre une vue imprenable sur sa chatte imberbe et luisante, son clito gonflé de désir, sa rosette que je trouve magnifique. Elle me regarde toujours. — Viens me baiser, Léo, dit-elle. Je veux sentir ta queue. Baise-moi ! Je m’exécute sans hésiter. Je me place à deux genoux derrière elle et viens caresser ses lèvres avec mon gland hypersensible. Il me suffit de pousser un tout petit peu pour la pénétrer... *** J’ouvre les yeux avec des fourmillements étranges au niveau du bas ventre. Complètement perdu, je soulève ma couette. Une substance blanchâtre et gluante recouvre le bas de mon ventre jusqu’à mon nombril. Ma verge, encore en érection une seconde plus tôt, dégonfle et se recroqueville. Je relâche la couette en soupirant. C’est probablement le meilleur rêve que je n’ai jamais fait... *** — Et la semaine prochaine c’est ...
    ... au tour d’Hugo de faire une fiesta. Tu pourras être là ? — Je sais pas, Simon. Je te redirai quoi. Je suis à nouveau dans la salle d’étude. Notre prof n’est toujours pas revenu de son arrêt maladie. Simon est venu s’asseoir à côté de moi pour me parler comme si nous étions amis, comme il a l’habitude de le faire depuis quelques jours. Cela ne me dérange pas trop en temps normal, mais là il a plutôt tendance à m’agacer et je ne l’écoute que d’une oreille. Je n’arrête pas de regarder en direction de la porte restée ouverte pour les retardataires. Si Simon est à côté de moi, c’est parce que Mak n’y est pas. S’il n’y est pas, c’est parce qu’il est assis un peu plus loin, à côté d’Emeline, sa gothique. Et si Emeline est ici, ça veut dire que sa classe est en étude aussi, donc que Laurène ne devrait pas tarder à franchir le pas de la porte de la salle. Et entre notre bon moment passé ensemble en début de semaine et mon rêve érotique où elle avait le premier rôle, je ne l’imagine pas aller s’asseoir ailleurs qu’à côté de moi. — Il est cool Hugo. Il arrête pas de traîner avec les matheux de la section sociale, mais je l’aime bien quand même. Laurène arrive enfin. Elle entre dans la salle, s’excuse auprès du surveillant et balaye la pièce des yeux pour trouver une place. Elle esquisse un sourire quand son regard se pose sur moi. — Euh, Simon, ça te dérangerait d’aller t’asseoir ailleurs ? — Hein, pourquoi ? — Parce que. Je voudrais juste que tu dégages, s’te plait. N’y vois rien de ...
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