1. Charlène, sa nièce et son amie (7)


    Datte: 07/04/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... dans les yeux et lui balance uneclaque sur la joue. La fille gémit en agitant la tête de droite à gauche. Je reprends le bout de mon fil et enserre à l’identique le camarade jumeau de ma partenaire de jeu. Même punition, même couleur. Ma nièce a une poitrine beaucoup plus modeste. Au bout de sept à huit tours de ficelle, seuls les tétons émergent du ligotage en règle. L’afflux de sang lié au garrot leur donne une belle couleur marron foncé. Charlotte a les yeux embués de larme. "Qui aime bien, châtie bien". Je vais lui donner l’occasion de vérifier l’adage. Mais en attendant revenons aux tétons de notre chère teutonne, si fière de ses attributs féminins. Je dois sérieusement m’assurer de leur texture. Mes deux mains posées sur le haut de sa poitrine, j’enfonce mes ongles dans sa chair et lui laboure le buste. Elle gigote dans tous les sens mais les liens sont bien solides. Des traces de griffures se font jour sur la peau tendre. J’insiste quelque peu en souvenir du viol manuel qu’elle a imposé à mon intimité. Je remarque tout à coup que la scène manque un peu de lumière. J’opte pour le bougeoir à sept branches qu’un ami juif m’a donné. Une fois le candélabre allumé, cela va beaucoup mieux. Les flammes dessinent de jolis reflets colorés sur les corps bronzés des deux salopes. Je saisis une chandelle et la présente à la teutonne. Regard effaré, les pupilles partent chercher un improbable secours. Mais il n’y a que moi. Je promène la flammèche sous le téton de la fille, pas ...
    ... suffisamment longtemps pour le brûler mais assez pour le faire durcir. Je mords délibérément la pointe turgescente. La blonde part dans un rodéo impossible. Ma nièce attend patiemment son tour. Je me contente pour l’instant de lui vriller conjointement les tétins. J’ai, l’espace d’un instant, l’impression qu’elle va tourner de l’œil tellement la douleur est vive. A la manière d’une première communiante, je reprends mon cierge. Ingrid ferme les paupières quand la cire brûlante se répand sur sa poitrine puis son ventre. Elle se trémousse dans tous les sens, ce qui ne la protège pas vraiment. La flamme vient maintenant lécher le triangle depoils pubiens. La salope gémit et se tortille de plus belle. Ça sent le roussi. J’ y vais là aussi par petites touches. Je pose ma main sur les poils pour les éteindre quand ils commencent à prendre feu. Ça y est j’ai fini de la débarrasser de cette toison encombrante. À l’aide du tuyau d’arrosage du jardin j’arrose copieusement sa chatte. Et le reste, et Charlotte à l’occasion.C’est un exercice très vivifiant, je suis sûre que la nordique doit apprécier. Il fait un peu frais en septembre et une légère chair de poule prend naissance sur leur épiderme. Voyons voir. Il me semble me souvenir que j’ai acheté récemment un magnifique manche de pioche chez Monsieur Bricolage, pour remplacer l’ancien. Je n’ai pas eu le temps de le changer mais il doit se trouver dans l’abri de jardin. Pour faire bonne mesure je prends le nouveau manche en question mais ...