1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 592)


    Datte: 07/04/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Pauline au Château - (suite de l'épisode N°586)- Je garde les yeux au sol, à quatre pattes, aux pieds de ces trois hommes dominants. Je sens une caresse lente, un effleurement du bout des doigts sur mon dos, ce contact me fait frissonner, de suite, mon corps se tend. Cette même main, vient se poser sur mes fesses, suivie d’une deuxième. Les doigts pressés sur ma peau, je sens mon cul s’écarté, puis une frappe forte vient s’écraser sur ma peau. A nouveau mes deux fesses sont écartées, et une frappe vient cingler mon fessier déjà douloureux et rougi des précédents coups de fouets. Je grimace, garde mon calme, respire fort, et tente d’être ailleurs, abandonnant mon corps à ces hommes. L’agitation se fait autour de moi, mes cuisses sont écartés, je tombe à plat ventre sur le sol, mes chevilles sont menottées. Je tente de remuer les jambes mais impossible, mes jambes sont immobilisées et écartées par une solide barre de fer. Alors que cette situation m’est humiliante, je me sens devenir chaude, humide. Des bras passent autour de ma poitrine, je suis soulevée comme une plume, les deux acolytes me portent sur quelques mètres, et me couchent, sur une table dans un coin de la pièce que je n’avais pas remarqué à mon arrivée. Je tente de me débattre, mes bras sont saisis avec force, étendus le long de mon corps, et des anneaux viennent enserrer à mes poignets. Ma tête est maintenue entre les mains de l’homme qui nous a accueilli. Son regard rencontre le mien, mais son regard a changé, ...
    ... autant quand je suis arrivée, son regard était vicieux, pervers et me faisait peur que maintenant il se veut à la fois toujours dominant, mais aussi serein, comme pour me demander de me calmer, de me laisser faire. Sous ce regard plus apaisant, je me détends, mes muscles deviennent lourds. Celui qui se nomme Franck, se place à mes côtés, et place deux de ses doigts, dans ma bouche, il fait des allers-retours, et profite de cette situation, pour me maintenir la bouche ouverte, tandis que l’autre place le bâillon à anneau, sur ma bouche, et le serre à l’arrière de ma tête pour le fixer. Des mains caressent mes seins, pincent mes tétons qui se hérissent, j’ai envie de me mordre les lèvres, mais impossible. Une morsure simultanée me pince les tétons, et irradie le bas de mon corps. Les mains me caressent désormais chaque parcelle de ma peau, puis elles retombent avec force, j’ai l’impression de ne devenir plus qu’une vulgaire poupée entre leurs mains, j’ai chaud, ma peau est rouge écarlate, je sens des gouttes de sueur perlées sur mon front. Dans un silence total, les trois hommes usent de mon corps, ils me pincent, me fessent, me caressent, me griffent… Je tremble, je dégouline, j’aimerai qu’ils me pénètrent, là, qu’ils me prennent sauvagement. Cette torture ne peut plus durer à croire qu’ils ont reçu l’ordre de ne pas toucher au point ultime d’une pénétration. Une sensation nouvelle me fait sursauter, le plug en moi se met à vibrer, j’ignore qui a mis la fonction en marche, mais ...
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