Jeudi 9 février (2)
Datte: 08/04/2019,
Catégories:
Hétéro
... clito, elle crie une première fois. J’insère maintenant un doigt et commence des va-et-vient avec, suivi par un deuxième, puis un troisième doigt. Ma langue joue avec son clito, je la sens vibrer, son orgasme est proche, sa respiration s’accélère, d’un seul coup elle me sert la tête entre ses cuisses. Elle vient de jouir en silence. Après quelques instants : “Viens, prends-moi.” (Ce sont ses premiers mots depuis notre arrivée chez moi) Je me relève, et positionne ma bite entre ses jambes. Avec mon gland, je continue de lui caresser les lèvres et le clito. N’en pouvant plus, elle me fait la pénétrer en me tirant vers elle avec ses jambes. Je suis en elle, je ne bouge pas, je l’embrasse tendrement avant de commencer mes mouvements. Je sens que Noémie me masse la verge en jouant avec son périnée, elle serre et desserre au même rythme que mes mouvements qui sont pour le moment, très lents. Je veux prendre mon temps. Mes mouvements sont lents et avec une grande amplitude. Je m’enfonce au maximum et je me retire entièrement de son vagin. Cela dure un moment, puis j’accélère, mes couilles viennent claquer à chaque pénétration sur son petit cul. Je vais de plus en plus vite, je lui ramone la chatte. Noémie retient ses cris, je la vois serrer les dents pour ne pas crier sa jouissance. Des gouttes de sueur perlent le long de son corps. Je ne vais pas pouvoir tenir encore longtemps. Ses seins bougent au rythme de mes coups de bassin, ils sont beaux avec de magnifiques aréole ...
... surplombées de mamelons tout aussi beaux. Je me crispe et lâche ma jouissance au même moment que son vagin me serre le sexe. On a joui en même temps.” Mais voilà elle est partie, la journée est foutue à moins que... Une idée me passe par la tête : pourquoi ne pas aller voir cette fameuse conductrice, qui a embouti ma voiture ? Je vais prendre de ses nouvelles, cela va passer le temps et en plus j’aime bien passer pour le bon samaritain. Je sais, qu’elle se trouve toujours à l’hôpital. Après avoir mangé un morceau, je prends ma nouvelle voiture et me dirige vers la sortie de la ville où se trouve le complexe hospitalier. C’est un centre tout neuf qui vient d’être construit, bien pensé, je n’ai pas de mal à trouver une place de parking. Arrivé dans le hall d’accueil, je me dirige vers le bureau où se trouvent les hôtesses : “Bonjour, Madame, je souhaiterais avoir le numéro d’une chambre Bonjour, Monsieur, quel est le nom du patient ? Je ne le connais pas, c’est une personne qui est arrivée ce matin à la suite d’un accident de la circulation. Elle est certainement dans le service Orthopédie - Traumatologie, mais je ne peux pas vous donner ni son nom, ni sa chambre, je suis désolée. Ce n’est pas grave, je vais trouver, à quel étage se trouve le service ? 7ème gauche. Merci, Madame, bonne journée de rien, à vous aussi.” Il ne me reste plus qu’à prendre l’ascenseur direction le 7ème, moi qui n’aime pas être enfermé, je suis servi, l’ascenseur est bondé. On s’arrête à chaque étage. C’est ...