1. Épisode VII : Comment Andrea parvint à ses fins


    Datte: 08/04/2019, Catégories: ff, frousses, fsoumise, noculotte, intermast, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, attache,

    La semaine avant que je prenne quelques jours de congé bien mérités se passa sans grand évènement, mais Andrea me raconta encore une fois une histoire croustillante. Cette fois, elle avait réussi à séduire Sandra. Sandra lisait paisiblement au salon du sous-sol. Elle était installée profondément dans une causeuse, les pieds sur un pouf. Andrea, qui arrivait les bras chargés, descendit dans sa chambre et l’aperçut. Elles étaient seules dans l’appartement et l’Américaine la désirait ardemment depuis qu’elle avait vu Sandra l’observer, debout sur le visage de Marianne. Ce soir encore, elle essaierait de charmer celle qu’elle désirait. Andrea sortit de la chambre et s’approcha de Sandra, qui lui lança un sourire un peu troublé et se remit à sa lecture. L’Américaine se devait de l’émoustiller, si bien qu’elle se dirigea vers l’étagère à côté du foyer et y posa les mains, tournant le dos à Sandra et offrant sa croupe. Andrea fit ce qu’elle savait merveilleusement faire : être désirable. Avec lenteur, elle bougea et se tordit le bassin, se relevant sur le bout des pieds pour tenter de regarder par la fenêtre. Par le reflet de la vitre, elle vit que Sandra lui accordait son attention, les yeux fixés sur ses fesses. Mais elle ne pouvait rester là indéfiniment, Sandra n’aurait pas le courage de venir frôler ses hanches, son cul et son dos de ses mains. Elle se retourna alors et, se déhanchant, vint s’asseoir sur le côté, près de Sandra. L’Américaine brûlait de désir et en perdit ...
    ... toute réserve. — Pourquoi tu ne veux pas coucher avec les femmes ? demanda-t-elle de but en blanc. Sandra tourna son visage rouge vers elle, intimidée. — Je… Je n’sais pas. Parce qu’elles ne m’excitent pas, affirma Sandra, figée de stupeur.— Comment ça ? Tu avais pourtant l’air bien excitée quand moi et Marianne nous faisions jouir, expliqua Andrea en posant une main douce sur la cuisse de Sandra. La rousse rosissait de la main qui la touchait et de sa gêne de ce souvenir troublant. Elle garda le silence. — Toi qui aime la sensualité, il n’y a rien de plus sensuel qu’une femme, non ? continua Andrea, un sourcil interrogateur levé. Sandra réfléchit. — Il leur manque quelque chose, il leur manque le sexe d’un homme, avoua timidement Sandra, qui, malgré elle, restait plantée dans la causeuse.— Il y a les doigts, la langue…— Oui. Un homme aussi a des doigts et une langue, mais il a une queue en plus. Les yeux d’Andrea se firent curieux et une lueur d’espoir semblait les habiter. — Tu veux une queue ? C’est tout ?— Oui. Une queue et la sexualité brute d’un homme, sa volonté plus forte que la mienne. Voilà, c’est ça qui m’excite.— Oh, fit la rousse. Si j’avais une queue, tu m’embrasserais ? Sandra rougit à la limite du possible. — Je… Je n’sais pas.— Je t’exciterais si j’avais une queue ? Sandra s’embrouilla davantage, Andrea l’attirait, sa force de caractère, sa sensualité, sa fougue. Sandra ne savait plus que répondre. Elle l’imagina avec une queue, fine et douce et quelque chose ...
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