1. On passe à l'acte


    Datte: 08/04/2019, Catégories: fh, fhhh, cocus, inconnu, fépilée, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, humour,

    ... qui la mate ? Tu ne voudrais pas que je te suce devant quelqu’un ? Devant un inconnu qui se touche en nous regardant ? Sa diction se hachait de petits halètements désordonnés. Sa vulve lubrifiait le muscle qui vibrait sous elle. De son côté, le souffle court, Vincent subissait le déroutant harcèlement. Elle s’entêta : — Hein, dis, ça t’exciterait ? Ça t’exciterait que le type s’approche avec sa queue en main…— Maryse, s’il te plaît… souffla-t-il.— Dis-moi que ça t’excite.— Je sais pas…— Et si on le faisait ?— Tu es folle !— Dis-moi qu’on va le faire.— Chérie…— Vas-y, dis-le, j’ai envie.— D’accord, on va le faire.— Demain. On va le faire demain, dit-elle en se frottant de plus belle, dis-moi oui… Le membre frémit dans sa main et Vincent s’arqua en décollant le bassin du matelas. — D’accord, demain, gémit-il en vibrant comme un bambou. Une giclée lourde et tiède s’écrasa sur le visage de l’épouse qui accéléra sa main pour précipiter les gerbes suivantes. Les salves éjaculatoires étaient impressionnantes ; Maryse n’avait jamais assisté à un tel débordement. Des pectoraux jusqu’au nombril, le delta de poils se trouva maculé de crème séminale. La femme se hissa sur son homme, écrasa ses seins contre son ventre, et son abricot contre le genou. Le visage plongé dans la toison engluée, elle donnait de grands coups de langue. Le clito à la torture ordonna un orgasme digne d’accompagner celui de son conjoint. Vincent, d’ailleurs, sentit une ampoule de mouille se libérer sur sa ...
    ... rotule. Encore étourdis, ils restèrent silencieux le temps que les haleines se stabilisent et que les artères se calment. Maryse prit la main de son mari pour la poser sur sa poitrine. — Je t’aime Vincent, murmura-t-elle.— Moi aussi, dit-il faiblement en pressant un sein dans sa main. oooo0000oooo Une odeur de café flottait en nappes légères au-dessus de l’oreiller. Maryse ouvrit les volets. Une solide lumière jaune éclaboussa le plateau du petit déjeuner posé sur le chevet. Le dormeur protégea ses yeux de la lumière. — Le déjeuner de Monsieur est servi, annonça une voix aussi claire que la lumière matinale. L’odeur de toast et d’œuf frit validait l’annonce. — Tu es tombée du lit ? demanda le mari, les mains sur les yeux.— Tout à fait, confirma-t-elle ; on va sortir.— On va sortir ? Pour aller où ?— Tu as fait une promesse hier soir.— Une promesse ?— Oui, Monsieur.— Quelle promesse ?— Tu ne te souviens pas ? sourit-elle en venant lui faire de l’ombre pour qu’il puisse ouvrir les yeux. Elle portait une mini-robe rose, à ras le bonbon, moulante, décolletée. — Je suis prête, dit-elle en relevant à peine l’ourlet. Son sexe de petite fille, lisse et rose comme des dragées siamoises, apparut sous le tissu. — Je vais me montrer, dit-elle.— Tu vas te montrer ?— Oui, je vais montrer mon petit minou, dit-elle en y passant les doigts, puis elle se tourna. Je vais aussi montrer mes fesses, continua-t-elle en se penchant en avant. Enfin, elle s’agenouilla devant le lit et sortit ses seins du ...
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