1. On passe à l'acte


    Datte: 08/04/2019, Catégories: fh, fhhh, cocus, inconnu, fépilée, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, humour,

    ... normalement faire une minute, mais il n’était pas arrivé à cinquante que cela faisait déjà une heure (e=mc2).« Une heure pour regarder par un trou s’il y a quelqu’un de l’autre côté ? Y’a un truc qui cloche ! » Il sortit de la voiture et parcourut la distance à grands pas. La porte était loquetée. Il frappa doucement : — Maryse, c’est moi, appela-t-il à voix basse. Elle entrouvrit en pressant son index contre ses lèvres. — Chhhht.— Ben alors ? souffla-t-il en se faufilant à l’intérieur, y’a quelqu’un ou pas ? Elle verrouilla et lui fit signe de regarder par le trou et constater par lui-même. Vincent eut une arythmie cardiaque : c’était le même type qu’il avait vu quelques jours auparavant avec sa fusée Apollo dans les mains.« Ma parole, il habite ici ! » Le membre lui parut encore plus imposant que la fois passée. Il vit aussi que la robe de Maryse était relevée. — Tu as commencé sans moi ? Pourquoi tu ne m’as pas fait signe ?— Je faisais semblant de faire pipi, j’allais t’appeler. Elle le fit reculer hors du champ de vision. — Regarde-moi, dit-elle en se positionnant face au trou. D’un geste presque innocent, elle souleva l’ourlet de coton, lentement, jusqu’au bombement du mont de Vénus fraîchement épilé, puis jusqu’au nombril. Elle regardait son mari, observait son trouble. Elle lui sourit : — Ça t’excite ? Vincent faisait aller ses yeux du sexe au visage, de la diablesse à l’ange, de l’Enfer au Paradis. — Je… je suis pas sûr, dit-il.— Sors ta queue, et tu vas savoir, ...
    ... chuchota-t-elle en glissant ses doigts de chaque côté du minou rose et l’écarter pour en faire admirer les plis de nacre à l’inconnu. Vincent baissa pantalon et slip d’un seul geste, et flap ! son gland vint frapper le nombril. Il était dur comme une prothèse en bois montée sur ressort. L’épouse continua de se caresser à quelques centimètres du trou. — Touche-toi, murmura-t-elle. Vincent s’exécuta en écarquillant les yeux sur deux doigts apparus de chez le voisin, et qui s’agitaient pour supplier un contact. Maryse se courba en arrière pour avancer son pubis. — Non ! murmura le mari. Les yeux fixés sur les doigts, elle faisait son approche, lentement… — Non ! Dès que les phalanges étrangères frôlèrent la petite pelote de nerfs, la femme jeta la tête en arrière, gémit et colla son bas-ventre au trou. Vincent n’en revenait pas. Il s’astiquait le manche avec une expression proche de la souffrance. La pose était trop obscène. L’épouse avait fermé les yeux et respirait par râles. Ses jambes tremblaient. Elle finit par décoller son ventre de l’orifice pariétal pour reprendre souffle. C’est alors que Vincent vit que le voisin avait substitué ses phalanges par une longue langue. Le muscle gustatif s’agitait dans le vide, ostentatoire, sans gêne, obscène. Maryse tendit la main vers son mari. — Approche-toi. Elle prit son sexe en main. — Embrasse-moi, dit-elle encore en livrant sa moule à la langue avide. Vincent maintint fermement la tête dans ses mains et lui fouilla la bouche avec sa ...
«12...456...»