1. "Baise-moi bébé..."


    Datte: 09/04/2019, Catégories: 2couples, fbi, inconnu, nympho, bizarre, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, policier, fantastiqu, roadmovie,

    ... poursuivis mon chemin entre ses cuisses avec vigueur, excité par le danger de se savoir dépendant du plaisir de ce type. À tout moment il pouvait décider d’appuyer sur la gâchette. L’orgasme. C’était là qu’il fallait être attentif. Tout en déchirant ma Polly qui roulait des pelles magistrales à sa complice, les mains sur ses joues, je surveillais du coin de l’œil cet enfoiré qui baisait à mort la bimbo. Contrairement à ce qu’il pensait, elle ne lui appartenait pas, elle n’appartenait à personne. Si elle décidait un jour de mettre les voiles, je ne l’empêcherais pas. J’aimais trop la liberté pour ça ! Polly succombait maintenant à chacun de mes coups de boutoir et j’étais sur le point de venir en elle. Lorsque. L’homme commit l’erreur de s’abandonner un instant à son fantasme, enfournant le canon de son arme dans le cul de Kelly-Ann pendant qu’il la tringlait. Il émit un râle, libéra visiblement son geyser dans sa fente… Tir. Impact. Sa poitrine se désintégra sous le feu rageur de mon canon scié. Le colosse fut projeté sur le sol, quelques ...
    ... mètres plus loin, sous les plaintes incessantes de Kelly qui agonisait de plaisir, le souffle court. Je me hâtai à mon tour de me retirer pour me branler dans sa raie sans les mains et lâcher quatre épaisses giclées compactes de sperme sur le cul de Polly qui persistait à jouer de la croupe, le visage enfoui dans les draps. Elle avait joui plusieurs fois et haletante, me scrutait du coin de l’œil, arborant aux lèvres un sourire qui témoignait de la fierté d’être avec un type comme moi. Ma poitrine se soulevait lourdement à chaque respiration. J’étais en sueur, les reins ruisselants. Je contemplai les jets de foutre qui étaient venus s’étaler sur les fesses de Polly jusqu’aux omoplates. Le sperme dévalait maintenant la pente délicieuse de sa raie. Alors je pliai les genoux pour recueillir ce nectar dans ma bouche avant de le recracher au-dessus des lèvres des deux enragées qui, toute langue déployée, le laissèrent couler goulûment au creux de leur gorge. Puis, me redressant, je lorgnai le cadavre du chasseur. Les mouches le dévoraient déjà. 
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