1. Soubrette pour un soir


    Datte: 09/04/2019, Catégories: grp, fbi, nympho, fdomine, soubrette, noculotte, facial, Partouze / Groupe init,

    Récemment divorcée, Maria avait urgemment besoin d’un emploi. Elle avait été formée à la conception de site internet, mais elle n’avait plus travaillé dans le domaine depuis son mariage. Son mari, cadre dans une grande entreprise, avait largement les moyens de les faire vivre confortablement sans qu’elle ait besoin de travailler… Dix ans étaient passés depuis ses études, dix ans durant lesquels son mariage avait irrémédiablement sombré dans l’indolence bourgeoise. Son mari, peut-être déçu de l’absence d’enfant, s’était mis à la chasse aux jeunettes… Ils avaient pourtant couru les cabinets d’innombrables « spécialistes », et des plus chers, pour arriver à couver quelque chose dans leur nid, mais bien qu’on ne détecte rien d’anormal chez elle ou chez lui, ils n’arrivaient tout simplement pas à concevoir un enfant ensemble… À force de courir la jupette, il avait fini par compter dans son harem une donzelle assez ambitieuse pour le persuader de se débarrasser de « sa vieille »… Fataliste, Maria ne s’était même pas vraiment battue pour son mariage. Elle n’arrivait pas à se débarrasser de la sourde culpabilité de leur « stérilité » et elle avait tout simplement laissé sa place à une autre, sans doute plus fertile… Heureusement, elle n’avait pas tout perdu, elle avait pu garder la propriété d’un hôtel particulier et d’une belle petite villa à la campagne… dans l’urgence de trouver des revenus, elle s’était résolue à louer l’hôtel et se contentait de vivre entre les bois et les ...
    ... champs dans une villa toute petite, mais au milieu d’un beau verger et avec une petite piscine quand même… c’est seulement après toute la procédure de divorce, en goûtant au plaisir de traîner dans un transat au bord du bassin et en se félicitant du confort de sa nouvelle situation qu’elle dut bien admettre qu’elle n’aimait de toute façon plus son ex-mari, si toutefois elle l’avait jamais vraiment aimé… Elle avait confié la gestion de son hôtel particulier à une agence, mais avant de pouvoir le louer, il fallait l’aménager en immeuble de rapport et les travaux nécessaires pouvaient encore durer plus de six mois, période durant laquelle Maria ne pourrait compter sur ses maigres économies pour survivre… le luxe de la piscine contre la misère du frigo presque vide… il lui fallait vite un revenu. Ses connaissances n’étaient évidemment plus du tout à jour. Dans ce domaine, dix ans c’est un millénaire, personne ne voulait l’engager pour ce genre de fonction sur base de ses compétences passées. Elle avait donc largement fait passer le message dans son entourage qu’elle était prête à accepter n’importe quel boulot, quitte même à faire des ménages ou servir dans un café ou une auberge… C’est pour ça qu’un, jour un cousin appelle : — Maria ? C’est André, tu cherches toujours du travail ?— Salut, André, bien sûr, pourquoi ? Tu as une bonne nouvelle ?— Peut-être, mais c’est un peu délicat et je ne suis pas trop sûr que ça te plaira.— Pourquoi ? Un boulot, c’est un boulot…— Oui, mais… enfin, ...
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