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Ah, quand le boulot vous tient !
Datte: 09/04/2019, Catégories: h, fh, couple, inconnu, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio,
... défis la boucle de ma ceinture et laissai pantalon et slip descendre jusqu’à mes chevilles, libérant ainsi complètement mon fauve pour lui prodiguer de lentes caresses appuyées. Mon gland était tellement mouillé que le prépuce glissait presque tout seul à chacun des mouvements que ma main appliquait sans hâte à la base de ma tige. Chez mes voisins, il y avait du mouvement… Le prince charmant avait lâché sa belle pour se coucher à même le sol sur le tapis plain du salon. La nymphe descendit du tabouret et s’assit à califourchon sur cette fougueuse monture, le sexe de son homme dressé entre ses cuisses. Puis elle se coucha sur lui et leurs lèvres s’unirent dans un baiser torride. L’homme recommença à lui caresser les fesses, se hasardant même à lui titiller l’anus. De son côté, la fée ondulait du bassin et frottait son sexe grand ouvert sur celui de son chevalier. D’où j’étais, je voyais ses testicules balancer à chaque aller-retour. Cet échauffement me sembla durer une éternité… Mais la fée en voulait plus encore ! D’une main experte, elle guida l’épée vigoureuse du chevalier jusqu’à l’entrée de sa grotte. Et une chevauchée fantastique démarra au petit trot… Progressivement, l’allure s’accéléra pour devenir un galop effréné. De tout son corps, la cavalière accompagnait les ...
... mouvements de sa « bête »… Le voyage semblait ne jamais devoir s’arrêter. Mais tout d’un coup, elle se redressa et rejeta la tête en arrière. Ses cheveux lui balayaient le bas du dos et ses seins, fièrement dressés, réclamaient leur dû de caresses. Le prince ne tarda pas à les envelopper de ses deux paumes et la chevauchée se poursuivit pendant une éternité. Puis l’allure redevint raisonnable et la nymphe se jeta à nouveau en avant, unissant sa bouche à celle de son compagnon. Pour ma part, je tenais une de ces triques ! Le mouvement de ma main sur ma verge s’était progressivement accéléré pour atteindre un rythme frénétique. De l’autre main, je massais doucement mes bourses. Je n’allais plus pouvoir attendre longtemps avant de libérer le flot d’énergie que je sentais sourdre en moi… Je fermai les yeux et m’obligeai à ralentir la cadence. Ce fut une explosion de plaisir. Plusieurs jets de sperme jaillirent de mon sexe en éruption. Quand je rouvris les yeux, il n’y avait plus personne dans l’appartement d’en face. La porte du fond s’était refermée. Les deux amants étaient partis poursuivre leurs jeux dans la salle de bain. Je repris complètement mes esprits en entendant la voix de Sonia dans l’interphone : — Monsieur Bergeret ? Voulez-vous que je vous apporte un petit café ?