1. Domination de couple - Épisode 5 - Pauline torturée


    Datte: 09/04/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... fort, mais suffisamment pour lui arracher un petit cri. De surprise plus que de douleur. Léa vient enlacer sa soumise : - « Tu vois ça fait pas bien mal… - Non maîtresse… - On va s’amuser tu vas voir… mais avant qu’on s’amuse, j’aimerais que tu me rappelles les safeword dont on a discuté. - … Jaune si je veux ralentir, rouge si je veux tout arrêter. - Très bien ma chérie » Et elle lui roula un patin du tonnerre… avant de lui mordre la lèvre. Pauline couina, toujours plus de peur qu’autre chose. Léa prit cette fois ci la langue de sa soumise entre ses dents… Celle-ci était arc bouté vers l’avant par peur irrationnel de voir sa langue arrachée. Puis Léa la lâcha, lui passa un coup de langue sur ses lèvres maintenant fermée et prit un peu de distance. Pauline haletait doucement. Léa prenait position derrière elle, à proximité de son placard d’outils de tortures. Moi, je me contentais de bander et de prendre du plaisir… pas mal comme programme. Notre domina commença par jouer avec sa cravache sur le cul de Pauline. La peur passée, celle-ci se concentrait sur les claquements du cuir sur ses fesses exposées et poussait de petit gémissement à mi-chemin entre plaisir et douleur. Léa la fit tourner sur elle-même pour que je puisse voir son cul rougir au fur et à mesure, ce qui contribuait à la montée de mon plaisir. Surement le but, d’ailleurs. Lorsque celui-ci fut bien rouge et que Pauline poussait des grognements de plus en plus appuyés, sa tortionnaire changea d’outil et commença ...
    ... doucement à lui marquer la poitrine avec un martinet. Au premier contact des lanières, Pauline poussa un cri de surprise. Celle-ci n’avait pas vu venir le changement et anticipait un coup sur ses fesses. Puis, sa réaction au contact des lanières évolua à nouveau pour repartir dans des gémissements à mi-chemin entre plaisir et douleur. Le phénomène suivant est très difficile à expliquer… le cerveau est une machine fantastique. Face à cette scène, j’ai eu l’impression pendant quelques instants d’avoir un arrêt sur image, comme au cinéma. Laissez-moi vous peindre le tableau. Léa à le bras en plein revers de martinet. Elle a une expression sur son visage qui mélange excitation, concentration, sadisme, peur d’en faire trop, envie de continuer… sa tresse est immobilisée en plein rebond contre sa poitrine à cause du mouvement. Ses tétons dépassent désormais fièrement de son corset, qui comprime tout de même le bas de sa poitrine. Sa position est légèrement penchée en avant, ce qui fait ressortir son cul parfaitement moulé par son pantalon ajusté en vinyle. Son autre main est prête à réceptionner son jouet après contact. Les lanières noires sont figées dans l’air, on peut presque sentir le cuir imprégné de l’odeur de Pauline. Celle-ci a une expression complexe à déchiffrer. Sa bouche est entre-ouverte, dans une position qui évoque le plaisir. Ses traits sont figés, évoquant plutôt la douleur. L’ensemble laisse imaginer une excitation omniprésente, une envie de repousser ses limites, ...
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