1. Ma femme se lâche de plus en plus...


    Datte: 10/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... le temps qu’il la pénètre doucement après avoir enlevé le rosebud qui permettait de laisser cette entrée ouverte pour ses visiteurs. Quand il fut bien installé, elle leur demanda de bouger, mais seul Jerôme donna le rythme, Hugo était passif, mais je voyais aux crispations de son visage que la jouissance n’était pas loin. Il n’y eut plus de paroles pendant quelques minutes, les deux garçons concentrés sur leur tâche et essayant de se retenir le plus longtemps possible et elle qui profitait de la pénétration en soupirant. Elle annonça son orgasme : - Je vais venir, oui !!! Encore !!!!!!haaaa ! Je ne l’avais jamais vu jouir avec autant de plaisir, elle avait peut-être joui autant avec N., mais je pouvais mesurer le chemin parcouru en quelques mois. Du coup, les deux garçons craquèrent aussi et remplirent mon épouse, Jerôme poussa des soupirs assez bruyants, il n’hésitait pas alors que Hugo était plus discret dans son plaisir. Une fois que ma chérie se fut vidée, elle enfila son kimono et on redescendit tous afin de poursuivre notre apéro coquin. Et là, une anecdote plus ou moins coquine. D’un coup, ma femme se relève et avoue : - Mince, il faut que j’enfile une culotte, désolée, mais ça coule partout, vous ne m’avez pas ratée les cochons ! Les deux garçons avaient l’air plutôt content de leur performance, ce que je pouvais parfaitement comprendre. Par la suite, ils reprirent leurs ébats et Hugo put jouir dans l’anus de ma femme. Je passais la nuit avec mon épouse après ...
    ... l’avoir prise à mon tour et les garçons dans la chambre d’amis. Mais le matin, elle me demanda d’aller les chercher et ils s’occupèrent d’elle plus d’une heure pendant que j’allais chercher les croissants, le mari idéal lol ! Finalement, elle décida de les garder tout le week-end et le dimanche soir, ils ne bandaient plus, je dus les suppléer, elle n’arrêtait plus. Lorsqu’ils partirent, je fis la remarque qu’elle s’était déchaînée, ce à quoi elle répondit que je n’avais encore rien vu ! Et en effet, la semaine suivante, elle fit venir tous les soirs un ou deux de ses jeunes amants afin de la prendre, N. était ravi de ses initiatives. Il lui demanda ensuite de « lever » un jeune en allant en ville. Elle releva le défi et partit le mercredi après midi dans une grande ville normande connue pour ses maisons en colombage. Elle était habillée de manière très suggestive et je suivis l’affaire par portable comme d’habitude. Elle m’envoya une photo d’elle dans un café, toutes cuisses dehors. Puis elle m’envoya un message : - Je suis repérée, il est mignon, s’il m’aborde, je le croque. Plus de nouvelles pendant deux heures, puis photo prise en vitesse, un jeune corps sur un lit, flou. Elle avait conclu. J’eu droit au récit le soir. Elle était restée près d’une heure au café, avait repoussé quelques avances, et lorsque le jeune était entré, il lui avait plu de suite. Mais il ne la regardait pas trop, elle sortit le grand jeu en dévoilant très largement ses cuisses, elle passa devant lui pour ...
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