1. Ma femme se lâche de plus en plus...


    Datte: 10/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... moins, elle devait néanmoins le sucer tous les jours. En revanche, il prenait de plus en plus son pied en l’offrant, comme moi en fait. Nous étions deux candaulistes offrant « notre » femme à d’autres, étrange situation. Nous discutions de nos envies afin d’envisager d’éventuelles aventures pour notre belle mature. Une se présenta, en effet, les copains de N. qui avaient baisé Martine à Nantes proposaient qu’elle vienne passer un week-end prolongé vers La Baule où les parents de l’un d’entre eux avaient une belle propriété avec piscine intérieure et de nombreuses chambres. Il fallait attendre les vacances scolaires de février, cette année là nous n’allions pas au ski, trop de monde, nous préférions avril. Il y avait quelques semaines à passer, elle s’entretint avec ses jeunes habituels, ils étaient une dizaine dans son « harem » et elle piochait dedans au fil de ses envies et des nôtres. Sa libido faisait qu’elle les faisait venir par deux ou trois. Certains matins étaient difficiles pour aller au travail ! Ma femme n’aime pas les préservatifs et heureusement, la médecine moderne lui permit de prendre un traitement préventif pour le sida qui permet de ne pas tomber malade, donc c’était dorénavant baise nature. Les vacances arrivèrent enfin. N. avait prévu quelques surprises dont il m’avait fait part. Il lui semblait qu’il était temps de passer à l’exhibition. Il avait eu le temps de préparer le voyage, il avait pris des contacts et prévu une halte en route où il ...
    ... l’exhiberait à quelques jeunes voyeurs. Ils partirent un jeudi et j’eu droit le soir à un compte rendu photo de la séance avec le récit. Elle ne le savait pas, mais elle était habillée comme une belle cochonne, prête pour ce genre de spectacle. Vers 15 heures, N. quitta l’autoroute et se rendit dans une zone boisée. Ma chérie sourit en se disant qu’il allait la baiser dans un coin discret. Elle était excitée car depuis le départ, elle jouait avec les routiers en s’exhibant en voiture. Ils s’arrêtèrent dans une clairière assez distante de la route, il y avait quelques voitures et scooters. Il sortit sa queue et lui donna l’ordre habituel : - Suce ! - Je veux bien, mais va plus loin, regarde il y a sûrement pas mal de monde ici ! - Non, j’ai envie ici, la voiture est fermée t’inquiète ! - Tu exagères, si quelqu’un vient, on arrête ! - Arrête de faire ta mijaurée, tu pars en week-end pour te faire baiser par une troupe de jeunes pervers, alors au boulot ! Elle se mit donc au travail, mais bien sûr, les contacts de N. étaient aux aguets et dès qu’ils virent la tête de ma femme disparaître sous le tableau de bord, les plus hardis sortirent du bois, comme des loups affamés. N. en avait contacté un maximum, se doutant bien qu’il y aurait des désistements. Il y en avait au final une dizaine, entre 18 et 20 ans. Ils s’approchèrent assez doucement, mais N. avait mis de la musique, donc pas de risque de se faire repérer par le bruit. Les moins timides se mirent près de la vitre passager et ...
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