Dépossession - 2
Datte: 10/04/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... porter. Satisfaite de ma réaction, elle continua de me regarder avec patience, dans l’attente d’une action. Je compris que cela serait à moi d’installer cette cage. J’entrepris alors de retirer ma ceinture, baisser mon pantalon et mon caleçon. Je bandais comme un âne. Impossible dans cette situation de mettre la cage. Elle m’adressa alors un : - Profites-en, c’est la dernière fois que tu te branles pour un moment. La regardant avec malice, je serais ma main autour de ma bite et commença les va et bien. La vue de la cage m’avait totalement excité, je ne tins que quelques secondes. Je crachai mon sperme dans des mouchoirs, et vaincue, ma bite se rétracta. Je pris la cache dans mes mains, essayant d’en comprendre son fonctionnement. Tout ce temps, Céline me regardait avec amusement : elle savait que cette chasteté serait une épreuve dure pour moi. Mais je pense qu’elle avait raison, cela assurait son contrôle sur mes branlettes, je pourrai mieux la satisfaire. C’est avec cette pensée que j’encageai mon chibre et fixa le cadenas. Elle tendit la main : je lui remis les clés de mon sexe, à présent hors de portée. J’étais maintenant sous son contrôle. - Chéri, je pense que tu as pris la bonne solution. Elle souriait, les yeux à demi-clôts. Je vais diriger ta sexualité, et tu vas aimer ça, j’en suis sûre. Elle s’approcha alors de moi, m’enlaçant. Je pris un de ses seins dans mes mains, cherchant du réconfort. Elle était chaude, douce, j’y trouvais une tendresse que ces dernières ...
... heures ne m’avaient pas offerte. Alors que nous nous embrassions, elle malaxa mon chibre encagé qui ne pouvait plus grandir. Je la sentis sourire. - Maintenant, tu es mon petit encagé. C’est trop mignon. Je souriais aussi, en me demandant où tout ça aller nous amener. A mon tour je passais une main sur ses fesses, entre ses cuisses, senti la douceur de ses courbes. Elle me lassa faire jusqu’à ce que je j’atteigne son abricot. Céline me tapa la main. - J’ai cru comprendre que ta bouche te servait bien en ce moment. Je souris de nouveau. Elle s’assit sur le canapé, je descendis ses bas (elle était en collant), soulevant sa jupe. J’approchai mon visage, senti l’odeur forte de son sexe humide. Elle m’attrapa les mains, qu’elle serait fortement sur les côtés de ses jambes, me paralysant les bras. J’entrepris l’inspection de son clitoris, et senti immédiatement ses genoux s’écarter sous mes caresses. Nous continuâmes ainsi un temps, son souffle court me rendait fou. Mon sexe encagé me brûlait. - S’il te plait, libère-moi, j’ai envie de toi. - Non, pas cette fois, ça t’apprendra, répondit-elle entre deux gémissements discrets. Elle leva son visage vers le plafond, se concentrant sur son plaisir. Quelques minutes passèrent et je fusionnais peu à peu avec son vagin. Ma tête cherchait son plaisir par tous les moyens. Elle ne pu s’empêcher de laisser échapper un cri de plaisir lorsqu’elle atteint l’orgasme, me serrant fortement la tête, m’empêchant presque de respirer. - Dieu du ciel, c’est ...