Trois femmes un soir d'été (1)
Datte: 21/08/2017,
Catégories:
Transexuels
... pouvoir aller me baigner sans la perdre, et pour ajouter une touche féminine, je mets du vernis sur mes ongles de mains et de pieds. Nous marchons jusqu’à la piscine, l’avantage de ce village de vacance est que tout se fait facilement à pied, ce qui nous permet de profiter des cigales, du soleil, de l’été dans le sud quoi. Arrivées sur place, nous installons nos serviettes et commençons par nous mettre mutuellement de la crème solaire, nous restons une bonne heure et demi à bronzer, puis nous décidons d’aller nous baigner. L’effet de se sentir femme dans un tel environnement est drôlement agréable. Je sens quelques regards appuyés d’un troupeau de mecs ayant pris leurs vacances entre eux, j’en profite pour tordre des fesses en passant vers eux quand nous sortons de l’eau, mais j’ignore leurs réflexions bien machistes. Vers 19h, à la fermeture de la piscine, nous rentrons au chalet, on pose nos affaires puis je sens Marie me pousser gentiment vers la douche. Arrivé dans la douche à l’italienne, elle appuie ses caresses sur mes fesses, et instinctivement je me penche en avant, tandis qu’elle s’accroupit derrière moi, baisse ma culotte de bain, écarte mes fesses et y glisse sa langue. Ses caresses sur mon anus sont un régal, ma respiration s’accélère sous l’effet du supplice, et cela ne lui échappe pas d’autant que je commence à imprimer un mouvement avec mon cul. Elle en profite pour glisser un doigt dans mon fondement, l’enfonce au maximum, le ressort, recommence, et me ...
... branle de sa main de libre qui a libéré mon sexe de sa prison. Haletant, je subis, et elle continue son infernal ballet, me doigte, fait des allers retours, en essayant de gratter ma prostate avec son ongle à chaque mouvement. Enfin, elle prend du recul, et je la vois s’enfiler un double gode violet, tiens un nouveau, mais celui-là n’a pas de harnais. Elle attrape le flacon de lubrifiant, en mets sur le gode, puis badigeonne mon petit trou. Je la sens venir en contact avec le gode sur mon anus, qui l’avale sans demander son reste, malgré sa taille plus imposante que les autres. Elle commence des va-et-vient en moi, c’est royal, la représentation de la scène dans ma tête, ses aller-retours en moi, le contact du gode sur les parois de mon cul, et en moi contre ma prostate, elle s’agrippant comme un animal furieux à moi pour m’administrer les coups les plus intenses qui soient… Je voyage rapidement au 7ème ciel, avant de sentir la jouissance arriver. Je ne peux contenir un râle de plaisir, éjaculant de grandes lampées de sperme, chacune provoquant une contraction qui aspire le gode au fond de moi et le faisant à nouveau rentrer en contact avec ma prostate. Mais elle n’en a pas fini de son côté, et continue à me pilonner après ça, de plus en plus fort, et ne tenant plus, je me libère pour me mettre à genoux. Elle s’y met aussi, me pousse en avant, je prends sur mes mains, celle-ci dans le sperme que je viens d’envoyer, puis elle revient en moi, continuant notre coït en levrette, ...