vacance avec mon maître (7)
Datte: 10/04/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... Pas sûr — Bon, si on les invitait pour l’apéro ce midi? — Très bonne idée, je vais les appeler, dit Maître Bernard Bien sur, ils acceptèrent. La matinée se déroule tranquillement. Vers onze heures, mon maître me dit d’aller passer une robe, la fuchsia. Elle est très courte, on voit les plis de mes fesses et mes anneaux, le haut est en forme de bustier. Justine met son short en jean qui laisse voir le bas de ses fesses et qui est coupé à l’entrejambe de telle sorte que l’on voit ses lèvres. Elle porte comme haut un débardeur blanc bien trop grand pour elle, ce qui fait que l’on voit très facilement sa poitrine. Quand nous sommes prêtes, nous retournons sur la terrasse. Mon maître nous regarde avec un petit sourire. Je suis sur qu’ils vont apprécier, dit-il, tu es vraiment bandante comme cela, ma femelle. Je souris et le remercie. Il veut me prendre par la taille, je fais un tour sur moi-même pour lui échapper et pars en riant. Je t’aurais, t’en fais pas, dit-il. Bien sûr qu’il m’aura et quand il veut. Les propriétaires arrivent. Lui, en short et elle en robe. Bien sur, ils nous matent. Une fois les présentations faites, on les invite à s’asseoir. Justine et moi faisons le service pendant qu’ils discutent. Pour servir, je me mets de dos au couple, me baisse jambes tendues ce qui a pour effet de remonter ma robe et de découvrir mes fesses et je remplis les verres. Je prends deux verres et me tourne vers le couple avec un grand sourire pour leur donner. Je vois leurs yeux ...
... briller. Apparemment, le spectacle leur a plu. Une fois le service fini, Justine et moi allons nous asseoir juste en face du couple. Quand je m’assoie ma robe remonte et laisse bien voir mon entre-jambe. Justine, sous des prétextes bidons, passe son temps à se baisser, faisant bailler son débardeur, ainsi ils peuvent voir sa poitrine. Le couple est aux anges. Nous parlons de tout et de rien, de banalité. Nous continuons à les servir et les langues commencent à se délier, les regards deviennent plus insistants. Le portable de Simone sonne. Elle s’excuse, se lève et s’écarte. Elle revient et dit à Robert — C’est Marion, elle veut venir nous voir ce midi pour fêter ses dix-huit ans — Qu’elle vienne, j’adore cette petite Et se tournant vers nos maîtres, — Cela ne vous dérange pas? C’est notre petite fille, vous verrez, elle est adorable et très mignonne — Non, pas du tout, répond mon maître, dix-huit ans, cela se fête. Et puis, vous allez manger avec nous. Ce sera à la bonne franquette — Merci pour votre invitation. Je vais aller chercher du champagne et je reviens. Nous mettons rapidement la table. Robert revient avec trois bouteilles de champagne. On va bien fêter les dix-huit ans de la petite. Marion arrive quelques minutes après. C’est vrai qu’elle est mignonne, la beauté de la jeunesse et elle est habillée très sexy avec des escarpins à talons fins. Elle donne plus l’impression d’aller à un rendez-vous galant que de voir ses grands-parents. C’est une jeune fille spontanée qui n’a ...