Privée de sexe
Datte: 10/04/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Vite, dépêches toi, baises moi, j'en meurs d'envie. Telles sont les paroles de la femme d'un type que je ne connais même pas: nous sommes amants depuis peu. Ses envies de baises sont venues après notre premier baiser, à la sortie de notre chorale. Je l'ai emmené dans un café boire une boisson chaude: il faisait un froid polaire. Nous bavardions du prochain concert que nous devions donner. Pas loin de nous un couple de jeunes amoureux lui faisait dire qu'il avait de la chance. Je demandais pourquoi: - Ils s'aiment et vont sans doute de faire l'amour: je les envie. - Ah bon, pourquoi les envier, vous être mariée et vous aussi faites l'amour. - Non depuis longtemps. - Que se passe-t-il ? - Il se passe que je ne peux plus jouir avec lui, il est trop brutal. Son visage change depuis qu'elle parle. Je ne sais que faire, après tout si elle est mal baisée je n'y suis pour rien. Elle pose sa tête sur mon épaule en sanglotant. Je suis extrême ne gêné. Qu'est-ce qu'elle veut. Je vais essayer les grands moyens: je pose mes lèvres sur les siennes. Elle ouvre la bouche. Notre premier baiser est sensationnel de sensualité. Elle m'excite à tel point que je commence à bander. Je ne me retiens plus, je saute des étapes pour lui poser directement une main sous sa robe. Elle écarte les jambes. Me voila lui caressant l'intérieur des cuisses. N'importe qui pourrait nous voir, je m'en fout totalement, j'ai envie d'elle maintenant: elle est très baisable malgré sa trentaine bien avancée. Elle me ...
... pousse à aller plus haut, là où la morale bien comprise m'interdirait d'aller. Je trouve son entrejambes, je sens sa culotte toute mouillée: elle aussi a envie, je ne sais si elle me veut ou si elle a tout simplement envie d'une baise. Réconfortés par les boisons chaudes et nos caresses, enfin celles que j'ai données, je l'emmène chez moi qui habite à deux pas. Je la fais entrer dans le séjour, elle s'assoit sur la banquette, je vais vers elle, l'embrasse encore. Nos langues reprennent leur ballet. Ma main retourne vers son sexe. Elle écarte toujours les jambes: je trouve son clitoris, le caresse. Elle est penchée en arrière, se laissant branler. Enfin elle jouit, m'embrasse en me remerciant: - Il y a si longtemps qu'un homme de m'avait pas faite jouir. - Quand même tu te branles quelque fois ? - Oui, souvent même en ayant des fantasmes avec toujours une main d'homme sur moi et sa bouche sur la mienne: je n'arrive à jouir que seule. - Pourtant avec moi, tu viens de jouir. - Justement tu réalises mon fantasme. - Et si je te demande de baiser avec moi ? - Avec toi, je ne sais pas. C'est sans doute à tenter. Pour tenter moi tenter c'est essayé. Je la pelote à peu près partout, sauf les pieds. Je la remets assise sur la banquette, lui fait écarter les jambes: je passe ma tête pour aller vers son entrejambe. Elle pose ses mains sur ma tête pour guider la langue sur son clitoris ne chaume pas un instant. Je la lèche longtemps, elle jouit encore et encore. A chaque fois elle pousse un ...