Caroline, ma voisine - 2
Datte: 11/04/2019,
Catégories:
Hardcore,
... administrateurs et des techniciens du monde lyrique, une belle salle style 1900, avec du bois presque partout. Une partie de la troupe actuellement en répétition les accompagne. Les présentations sont faites et je sens que l'ambiance est déjà bien joyeuse. L'un des machinistes m'explique que les répétitions sont terminées pour la journée, et que ce fut pas une partie de plaisir, le metteur en scène tchèque étant plutôt exigent avec sa troupe... Tout le monde décompresse donc.La soirée avance, et je discute avec la plupart des artistes qui sont tous originaires de Prague.L'une des comédiennes maîtrise un français parfait, avec très peu d'accent. Elle se prénomme Markéta et c'est sans doute l'une des plus jolies filles de la troupe. Taille moyenne, des cheveux châtains tombant en cascade sur de très jolies épaules dénudées par l'encolure large d'un bustier. Elle porte un jean qui met en valeur sa taille fine, ses belles hanches et un très joli cul ! Nous parlons de son métier, de son pays, de tout et de rien. Elle a appris le français au lycée et elle est tombée amoureuse de la langue et de la culture française. Markéta m'explique qu'elle a joué de nombreuses pièces du répertoire français, des classiques et des créations contemporaines. Le courant passe bien, je suis faciné par ses yeux bleus. Elle a aussi les pomettes saillantes et hautes, assez typiques des visages slaves...Minuit et demi, la plupart de ses amis de la troupe sont parti se coucher, mais nous continuons de ...
... bavarder, Markéta et moi. Nous sortons du café, elle frisonne et je lui donne ma veste.- Merci pour cette soirée, c'est vraiment sympa de discuter en français !- Mais de rien. Merci à toi pour la conversation, j'ai appris pas mal de truc sur les tchèques !- Il est tard, je vais rentrer, on reprend les répétitions demain midi...- Je t'accompagne à ton hôtel, c'est mon chemin...L’hôtel de la troupe n'était pas loin de chez moi, dans mon quartier. Nous traversons la ville à pied et Markéta se rapproche de moi. Le courant passe définitivement bien et je sens qu'une alchimie se créée entre elle et moi. Elle profite ainsi de la fraîcheur toute relative de la soirée pour mettre un bras autour de ma taille, et je fais de même... On continue à marcher, à discuter, je lui donne quelques infos et quelques anecdotes sur la ville. Nous passons dans ma rue, je lui indique que je vis dans le coin. Markéta s’arrête, me regarde et commence à m'embrasser. Je me laisse entraîner dans le baiser, nos langues s’entremêlent, et je sens qu'une douce tension sexuelle monte de plus en plus entre nous. Markéta est très tactile, elle me caresse le dos, remonte vers mon cou et mes cheveux, je la caresse moi aussi : le dos, ses hanches et ses fesses.- J'ai pas très envie de rentrer à l’hôtel...- Tu viens chez moi ?Un sourire, et nous nous embrassons a nouveau. Quelques dizaines de mètres plus loin, nous passons la porte de mon immeuble et nous grimpons très vite les trois étages jusqu'à mon appartement. Un ...