Souvenirs d'un queutard (6)
Datte: 11/04/2019,
Catégories:
Erotique,
... caressant sa tête et son cou je commençais de lents mouvements de va-et-vient dans sa bouche. Elle ne bougeait plus et me laissait me servir de sa bouche comme je me serai servi de son vagin pour mon plaisir. Sa bouche était chaude et baveuse, un peu de sa salive coulait sur ma queue. Je profitais de la situation, baisant sa cavité buccale à mon rythme. — Caresse-moi De sa main en coupe entre mes cuisses elle me palpait les couilles un peu maladroitement, mais sa caresse restait agréable. Je sentais mon plaisir venir, dans ces occasions là je prévenais toujours ma partenaire de l’imminence de mon éjaculation. Je décidais de ne rien dire, histoire de voir sa réaction de novice. — Prends-moi un peu plus Docile Annabelle s’exécuta, maintenant j’arrivais à toucher ses amygdales lors de mes va-et-vient. J’avais les couilles sous pression, dures et bien remontées, signe de mon éjaculation imminente. Je caressais sa tête de plus en plus fermement, pas question qu’elle se dérobe au dernier moment et que ma semence jaillisse dans le vide. Annabelle n’avait jamais sucé, donc elle ne connaissait ni le goût du sperme ni le nombre de giclées que je pouvais lâcher quand on me faisait une pipe. J’allais lui en faire la surprise. Ne pouvant plus me retenir, dans un dernier va-et-vient je m’enfonçais dans sa bouche à lui toucher le fond du gosier et me laissais aller. Annabelle esquissa un mouvement de recul à la première giclée, mouvement de recul que je maitrisais en appuyant sur sa tête ...
... afin de rester dans sa bouche et que mes testicules se vident de la totalité de leur contenu à fond de gorge. Ma queue tressauta encore quatre à cinq fois dans sa bouche libérant ma semence en jets saccadés. Annabelle toussa, s’étrangla, mais avala tout. Lâchant mon sexe elle se redressa, s’essuya et : — Salaud, t’aurais pu prévenir ! Je la regardais avec un petit sourire, satisfait de moi car elle ne devait pas s’attendre à se faire rincer les amygdales de façon aussi abondante. Mais ce n’est pas parce qu’Annabelle fut surprise par mon éjaculation que le lendemain elle ne me fit pas une autre fellation. Au contraire elle prit goût à la chose, prenant plus de temps pour jouer avec mon sexe, me palper les testicules et me tailler chaque jour une pipe plus longuement en s’y prenant de mieux en mieux. Je ne sais pas si elle a continué une relation avec son copain d’enfance et si elle l’a sucé, si c’est le cas il a dû trouver du changement dans le comportement d’Annabelle. J’en étais arrivé à beaucoup plus qu’un simple doigté, avec toujours l’espoir de pouvoir la pénétrer. Je faisais tout pour exacerber ses sens. Chaque jour quasiment j’arrivai à lui retirer pantalon et culotte, chemisier déboutonné, soutif remonté, les pieds sur le tableau de bord, fente bien ouverte, ses petites lèvres formaient un entonnoir et je jouais avec les replis de sa vulve. J’y passais et repassais mes doigts, frôlais le petit bourgeon sorti de son cache, effleurais l’entrée de son vagin y trempant juste ...