1. Xanths (1)


    Datte: 11/04/2019, Catégories: Erotique,

    ... rien faire : il me les maintint l’une contre l’autre, et les herbes se durcirent de nouveaux. « Menottée », il me plaça sur son épaule et malgré la différente hallucinante de taille entre nous deux, couru en me portant sur plusieurs centaines de mètres. — Ecoute moi bien petite : t’es nouvelle ici… Tu sais pas comment ça marche… Dans deux minutes je vais te faire quelque chose… Tu vas peut-être pas apprécier… Fais moi confiance… Il haletait, à bout de souffle. Moi je commençai à avoir mal au ventre. Mes seins ballotaient au rythme de ses pas et frappaient son dos. Je me sentais vulnérable et terriblement exposée, les fesses en l’air et la touffe au vent, sur le dos d’un petit homme bleu dont le gland glissait sur le sol et tapait sur tous les obstacles qui lui passaient entre les jambes. D’un coup, il grimpa sur un versant de colline, avant de me jeter au pied d’un grand arbre. J’étais à bout de force, les mains toujours emprisonnées. Je sentais mon ventre gonfler, j’avais mal, très mal. En fait la douleur était atroce : pourquoi ? — Qu’est-ce que vous me voulez ? Soufflai-je complètement ko. Laissez-moi… Je n’opposais aucune résistance physique, j’en étais tout bonnement incapable. Il m’écarta les cuisses, exposant ma foufoune : j’essayais de me relever mais il me plaqua contre le sol avec un de ses pieds. — Laisse toi faire, je vais te sauver la vie. — Non… Il passa ses gros doigts bleus boudiné sur mon bas ventre avant de glisser vers mon clitoris. Il commença par de ...
    ... petits cercles avant de plonger index dans mon ventre. Je gémissais, pas le plus gros calibre qui soit passé par là, mais ses petits doigts boudinés me faisaient dégouliner de plaisir. Sur le moment j’étais tout à fait perdue, et ne m’en rendit pas compte. — Arrêtez… Je ne comprenais pas : j’aurais dû être dégoutée, ne ressentir aucun plaisir et juste du dégoût. Mais là au contraire, je commençai même à gémir. Il plaça sa main sur ma bouche pour me faire taire, et je vis avec stupéfaction son sexe entrer en érection. Dans une position acrobatique au-dessus de moi, le nain me tenait la tête de sa main gauche, tout en tenant mes jambes avec ces pieds (d’ailleurs complètement dégueulasses, longs, sales avec des ongles crochus). Sa queue grossissait à vue d’œil, tapant dans les vingt-cinq centimètres de long pour plus de 4 de large. Il frotta son gland contre mes lèvres : il allait m’ouvrir en deux. Au fond de moi cela me dégoutait : je repensais à la veille ; refuser de se faire sauter par un vieux dégarni pour se faire ramoner au milieu de la forêt par un ogre bleu. J’avais été très conne. Mais mes lèvres dégoulinaient, j’étais trempée et j’en voulais malgré moi. Surtout, j’étais incapable de bouger, paralysée par mon mal de ventre qui menaçait à tout moment de me faire vomir. Il n’eut rien à faire de plus : j’atteignis l’orgasme. Un orgasme libérateur puisque mon mal de ventre disparut avec lui. En fait, il dura bien plus longtemps qu’aucun autre avant lui : je sentis mon vagin se ...
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