Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (19) : avec Marie, domination et plaisir.
Datte: 12/04/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Ce qui venait de se passer entre Philippe, mon mari candauliste, et Rachid, mon mâle, marquait un tournant. Non seulement Philippe avait (enfin) assumé sa bisexualité, mais ce fut pour lui une découverte. Il était devenu aussi accro que moi aux ébats avec Rachid. Il avait oublié la douleur de son dépucelage et, désormais, devenait insatiable. Certes, il aimait toujours me voir prise par Rachid, mais, quelque part, nous étions devenus « rivaux » pour savoir qui bénéficierait des saillies de notre mâle. Nous étions depuis longtemps objet de scandale dans notre ville, mais la situation s’aggravait encore. Rachid n’avait aucune retenue, il voulait nous afficher et faire savoir qu’il était le mâle d’Olga et Philippe T. Lorsque nous sortions en ville, il nous tenait chacun par la main, ou encore il avait une main sur mes fesses et l’autre sur celles de Philippe. Rachid n’hésitait pas, en pleine rue, à nous embrasser l’un comme l’autre à pleine bouche. Comme il le disait à qui voulait l’entendre, il avait désormais deux femelles. Au cinéma, au restaurant, c’était, en fonction de ses envies, l’un ou l’autre qui était chargé de lui vider les couilles. Toute la ville n’avait plus que mépris pour « le pédé et sa putain ». Notre réputation était définitivement ruinée. Nous étions en rivalité pour savoir qui, de Philippe ou de moi, aurait le privilège de passer la nuit avec notre mâle. Rachid finit par établir d’autorité un roulement. Celui ou celle qui ne passerait pas la nuit avec ...
... Rachid avait le droit d’être honoré en premier, avant d’assister passivement aux ébats du couple du soir, homosexuel ou hétérosexuel selon ce qu’avait décidé notre mâle. Rachid se plaignait quelquefois que nous le prenions pour un étalon et lui faisions vivre un rythme infernal. «Pour me calmer » et se reposer, disait-il, il prit l’habitude de m’amener chaque jour à sa cité, pour m’offrir à ses potes. J’en parlerai dans un autre récit. Malgré ces nombreux ébats, qui faisaient de moi une «pute gratuite», j’avais toujours besoin d’être prise par Rachid et notamment devant Philippe. Je savais combien celui-ci adorait ça et je voulais lui montrer que c’est quand même ce que Rachid préférait. Nous étions ainsi rentrés dans une phase du candaulisme que les spécialistes appellent le cuckold, celle où le mari est avant tout cocu et humilié. Rachid le macho avait une tendance naturelle à cela, compte tenu de son mépris souverain pour un mari qui avait offert son épouse à un autre. S’y ajoutait la façon dont il percevait les homosexuels passifs. Si cela ne suffisait pas, Rachid subissait l’influence maléfique d’une femme qui me détestait, le mot est faible, Maître Marie C. Cette sadique dominatrice avait désormais beaucoup d’influence sur Rachid et l’encourageait vers sa pente naturelle, celle du macho qui, en plus, avait le sentiment qu’à travers nous, il prenait sa revanche sur les bourgeois du quartier haut de la ville. Peu de jours après le nouvel équilibre de notre trio, Rachid ...