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COLLECTION SM. La faute à Internet (1/1)
Datte: 21/08/2017, Catégories: Dans la zone rouge,
COLLECTION SM. La faute à Internet (1/1) Comment peut-on laisser passer des images si dégradantes sans les censurer, j’ai toujours été fidèle au précepte que notre curé et nos bonnes soeurs m’ont inculqué dès mon plus jeune âge ? Pas de main sous ma couverture au collège catholique ou mes parents m’avait enfermé pour que je sois éduqué de la meilleure des manières afin que je devienne une honorable mère de famille très fidèle à son mari. Le châtiment corporel était de rigueur mais je craignais tellement les simples coups de règle sur mes doigts qu’elles nous administraient pour la moindre peccadille que j’étais rarement une jeune fille désobéissante. Quand cela arrivait sur le coup j’avais mal mais sentant une certaine chaleur descendre le long de mon corps, à cet âge-là j’évitais de pousser plus loin l’analyse de cette sensation. J’en ai parlé une fois à confesse et le long moment où j’ai été obligé de rester à genoux sur une pierre froide m’a dissuadé de reparler des sensations qui se faisaient jour dans mon corps à mesure de ma transformation en femme. J’ai entendu dire que les plus dévergondés recevaient des coups de cravache par la directrice les fesses à l’air, mais ce sont des on-dit n’ayant moi-même jamais subi ce traitement extrême. Quelque temps après avoir quitté ce pensionnat, papa et maman ont invité un couple de nos amis qui sont venus avec leur fils et j’ignore comment cela s’est fait mais je me suis retrouvée la bague aux doigts un polichinelle dans le ventre ...
... sans pouvoir dire que j’avais pris le moindre plaisir. Il y a presque vingt ans de cela femme complètement frustrée alors qu’à ce moment je l’ignorais. Mon mari était avocat et sillonnait la France pour défendre des types pleins de fric qu’il arrivait à faire acquitter alors que la moitié aurait dû être en prison mais pourquoi m’en plaindre je pouvais vivre dans le luxe grâce à eux. Mon fils est parti en Amérique pour faire de hautes études à Harvard, me laissant seule des journées entières. Un jour ma belle-mère est venue et m’a initié à Internet souhaitant m’envoyer des photos d’un voyage qu’elle allait faire aux États-Unis ou elle allait rencontrer son petit-fils alors que jusqu’à ce jour j’étais juste arrivée à appuyer sur le bouton marche arrêt. Elle m’a donné des cours pour que je puisse surfer comme elles le disaient. Pas plus bête qu’une autre j’ai compris comment fonctionnait un E-mail et un moteur de recherche. Une fois seule j’ai découvert les possibilités de ce que surfer sur la toile nous proposait, j’ai trouvé plein de site intéressant surtout pour de petits achats hors les boutiques de luxe où je pouvais choisir et essayer. Un jour j’ai regardé si un site qui parlait du collège où j’avais été, c’était le cas mais il avait été fermé pour cause de sévice sur les élèves les traumatisant à vie. Ils parlaient des règles sur les doigts, je suis allée dans la chambre de mon fils sachant qu’il avait une règle en fer identique à celui que j’avais subie. J’ai longtemps ...