Début de soirée
Datte: 13/04/2019,
Catégories:
fh,
couple,
fépilée,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
jeu,
... d’excitant là-dedans. Il faut quand même être un peu tordue— Tu sais, en matière d’amour et de sexe, comme dans les autres domaines d’ailleurs, je ne me laisserais jamais imposer quelque chose qui me déplaît. C’est vrai qu’au début, comme beaucoup de chose d’ailleurs, c’était pour plaire à Pierre. Mais c’est parce que cela m’a plu que j’ai poursuivi dans cette voie. Essaye et tu comprendras.— C’est hors de question.— Dommage pour toi. C’est très agréable de sentir le moindre souffle d’air venir te caresser les chairs. Tu ne peux pas imaginer les sensations que j’ai découvertes en me promenant le sexe nu sous une jupe légère que les courants d’air ne demandent qu’à soulever ; sans parler du frisson suscité par la pensée qu’une rafale un peu plus forte pourrait te dénuder.— Et bien dis donc. On peut dire que cela a l’air de te tenir à cœur.— Oui, c’est presque un mode de vie. Et avec le temps et l’habitude, les sensations sont toujours là. Dans une soirée, où je m’ennuie un peu, il suffit, au cours de ma discussion avec mes voisins que ma pensée se pose sur mon sexe nue de toute entrave quelques dizaines de centimètres plus bas pour retrouver un peu d’entrain et me mettre du baume au coeur.— Et Pierre ? qu’est-ce qu’il en pense ? Même si, commençant à le connaître, j’ai ma petite idée là-dessus.— Ah c’est sûr, il aime ça, et il en redemande. Il saisit toujours la moindre occasion pour me caresser discrètement les fesses qu’il adore deviner nues sous le fin tissu de mes ...
... tenues.— Ce ne serait pas juste un moyen pour vous exciter mutuellement.— Oui, peut-être. Mon plaisir c’est de me délecter de son regard rempli de désir lorsque, à l’aide d’un judicieux croisement de jambes ou d’une brise complice, j’arrive à lui rappeler, à l’insu des autres, que je n’ai rien sous ma robe. À chaque fois il me fait penser à Droopy avec sa langue pendante jusqu’au sol. C’est devenu un jeu de plus entre nous. Je l’ai fait en des lieux divers et variés, et tiens, regarde ! Rien que de t’en parler, cela me donne la chair de poule.— Vous cachez vraiment bien votre jeu, tous les deux. Mais tu n’as pas peur que quelqu’un d’autres s’en aperçoive ? En plus, toi qui portes maintenant plutôt des jupes courtes. Carole ne répond pas immédiatement. À la question de son amie, elle se rappelle de sa première fois. Elle se souvient avec émotion de l’effroi ainsi que des plaisants frissons qu’elle a ressentis lorsque, assise avec moi sur les marches d’un fameux monument de la Capitale, elle vit ce promeneur en contrebas, et surpris son regard se posant sur son entrejambe. À son premier passage, elle ne s’était aperçue de rien. Ce n’est qu’après quelques minutes qu’elle a compris son jeu. Il déambulait, l’air de rien, tournant toujours discrètement la tête vers elle, dès qu’il arrivait dans le bon angle de vue. Curieusement, et de façon assez inexplicable, Carole n’avait pas réagi. Peut-être est-ce le jeune âge du voyeur, entre vingt et vingt-cinq ans, et son air d’étudiant plutôt ...