1. Sandrine


    Datte: 13/04/2019, Catégories: fh, fplusag, sport, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, rasage, Oral init,

    ... s’est jamais sentie aussi bien, aussi libre de faire ce qu’elle a envie. Bien entendu, nous perdons lamentablement la partie. À l’heure du repas plus de matches pour nous, nous sommes libres de faire ce que bon nous semble. Dans un esprit d’équipe nous pourrions encourager nos amis mais nous préférons nous éclipser. Martine vient nous rejoindre à l’entrée des vestiaires et amicalement nous demande de faire attention à ce que nous faisons, qu’elle a l’impression que personne n’est au courant et qu’elle dira aux autres joueurs que nous sommes rentrés avec le mari de Sandrine. Ils se débrouilleront avec les voitures pour transporter les deux joueurs qui étaient avec nous à l’aller. — Ne me mettez plus jamais en porte-à-faux de la sorte. Soyez plus discrets à l’avenir, je ne veux plus rien savoir ! sermonne-t-elle sans attendre notre réponse. Dès qu’elle s’éloigne, Sandrine me donne rendez-vous d’ici dix minutes à l’extérieur de la salle. Je me lave, m’habille et patiente deux minutes avant de voir apparaître la belle. — Ne restons pas là, dit-elle en me prenant la main pour m’emmener derrière la salle. Le bâtiment se prolonge par une aile plus basse d’un étage qui est truffée de portes. Sandrine en choisit une et l’ouvre comme si elle était chez elle, mais où donc a-t-elle eu ce rousseau de clefs ? Je ne sais toujours pas et elle ne répond que par un charmant sourire énigmatique quand j’essaie de lui en parler. — Nous serons tranquilles dans cette salle de judo, dit la maman ...
    ... friponne en m’entraînant au milieu du tatami. Voilà mes fringues de sport, tu me les rendras mardi avec les autres… Ma culotte est toute cochonne, je suis sûr que tu vas te régaler à la nettoyer, rajoute-t-elle malicieuse.— Je vais m’appliquer à ce que tout soit propre.— Je sais, mon petit cochon, je sais. Viens là. En guise de repas, madame prend ma tête et la dirige sous sa jupe. Me pencher ne suffit pas, c’est à genoux que je me faufile dessous mais la position ne convient pas, elle s’allonge sur le dos, relève sa jupe jusqu’à la taille. La vue de son pubis imberbe entouré de jambes gainées de bas autofixants affole mes sens. En même temps qu’elle écarte doucement ses cuisses, elle me dit le plaisir qu’elle a de ne rien porter sous ses vêtements quand elle est en ma compagnie. Ses lèvres s’entrouvrent laissant apparaître ses chairs roses et luisantes. — Vient me laper, petit cochon, ordonne-t-elle sans élever la voix. C’est à quatre pattes que je viens me repaître entre ses cuisses, je lèche en m’imprégnant de ses effluves. Je reconnais entre mille ma propre odeur au milieu de toutes ces fragrances. Ma langue agace le clitoris, voire plonge dans le conduit chaud et visqueux. Ressentir ses tressautements et entendre ses petits cris sont du pur délice. Comme je suis novice, elle me dit même lorsqu’elle va jouir. Je l’aurais bien compris de toute manière, ses jambes enserrent ma tête, ses mains appuient sur ma tête et elle gémit de manière plus bestiale. Je suis au bord de ...
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