1. Sandrine


    Datte: 13/04/2019, Catégories: fh, fplusag, sport, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, rasage, Oral init,

    ... pas chez nous et je croyais que tout le monde était parti. Pardon, pardon… Je ne reconnais pas la petite voix emplie de stress qui me parle mais rouge de honte je pars en trombe dans ma cabine en disant que je laisserais la place libre d’ici cinq minutes. Je me suis à peine séché, ai enfilé mes vêtements difficilement puis j’ai filé des vestiaires. Les quelques personnes discutant dans le hall d’entrée se moquent de mon empressement et me souhaitent une bonne soirée. Une soirée mitée oui ! Je n’ai fait que penser à l’épisode de la douche et il n’y a qu’un sentiment de honte qui me submerge. Pourquoi je me suis caressé de la sorte sachant que je me trouvais dans une douche collective, n’importe qui aurait pu me voir dans cette situation inconfortable. Une des femmes du cours vient de me surprendre en train de me branler, pas vraiment en fait mais c’est ce qu’elle a dû percevoir. Je ne sais pas du tout comment pourrait être sa réaction, que va-t-il arriver au prochain entraînement ? Gardera-t-elle ce secret ? Pff, je ne sais plus quoi penser. Toute la semaine c’est Hiroshima dans ma tête, pas une minute de répit pour mon cerveau, rien ne peut me faire passer ce moment de honte, je ne cesse d’y penser. oooOOOooo Mardi soir, vingt heures, je suis dans ma voiture devant la salle de sport me demandant encore si je dois me présenter sur le terrain. J’en vois certains qui me font coucou avant de rentrer et je donne le change en faisant semblant de téléphoner sur mon cellulaire. Je ...
    ... finis par prendre mon courage à deux mains et je me dirige vers le vestiaire. Je rencontre quelques joueuses et joueurs, dans leur comportement rien n’indique qu’ils soient au courant de quelle que chose que ce soit. Tout le monde réagit de manière tout à fait normale et il en sera ainsi tout au long de l’heure trente d’entraînement. Je suis soulagé de savoir que personne n’est au courant, et que la dame m’ayant trouvé la main au panier n’a rien dit. Il subsiste toutefois une inconnue qui me tracasse : qui m’a vu en si fâcheuse position ? Les demoiselles et dames présentes à la dernière séance sont toutes sur le terrain, j’ai beau scruter leur visage, aucune ne me fait transparaître le moindre indice. Je joue mais sans conviction, heureux que rien ne se soit ébruité, mais perturbé de ne pas savoir à qui je me suis exhibé. Je ne me suis pas éternisé sous la douche, je suis même sorti dans les premiers. J’ai papoté une dizaine de minutes avec mes camarades de jeu et je suis monté dans ma voiture. Pendant que le moteur tourne je regarde les derniers messages reçus sur mon portable quand quelqu’un tape au carreau. Dès que je vois le visage de Sandrine, je baisse la vitre en lui demandant ce qui lui arrive. — Je voulais juste te rendre quelque chose, dit-elle en découvrant ses magnifiques dents blanches. Sa main s’ouvre et laisse tomber mon slip sur mes genoux. Je suis tétanisé, plus rien ne bouge, le temps s’est arrêté. — Je l’ai lavé… à la main, rajoute-t-elle pour me porter ...
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