1. Sandrine


    Datte: 13/04/2019, Catégories: fh, fplusag, sport, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, rasage, Oral init,

    ... Semaine suivante, je suis de nouveau en avance, très en avance même, à la fois curieux et anxieux quand à l’arrivée de Sandrine. Elle finit par se garer à côté de moi, le cours ne commence que dans une demi-heure ce qui confirme que nous sommes pressés de nous revoir. Que m’a-t-elle prévu comme surprise ? D’un geste de la main, elle m’invite à venir la rejoindre dans sa voiture. Je monte à côté d’elle et me penche pour lui faire la bise après avoir fermé la portière. Vue imprenable mais furtive sur sa poitrine engoncée dans un soutien-gorge noir. Je commence à sentir la chaleur irradier dans mon corps. — C’est gentil de m’avoir laissé tes affaires à nettoyer mais tu aurais pu au moins me dire au revoir au lieu de partir comme un voleur.— Excuse-moi mais… J’étais pressé.— Hum, si pressé que tu as oublié de me rendre ma culotte ? demande-t-elle.— Voui…— Petit coquin. Tu me la rends ou tu préfères la garder ?— Tiens, elle est là, lui dis-je en tendant un petit sac sorti de la poche de ma veste. Je… j’avais l’intention de te la rendre.— Merci, cela m’évitera de jouer le cul nu, ajoute-t-elle dans un filet de voix. Elle sourit. — Tout à l’heure j’espère que tu m’attendras pour me donner tes affaires, dit Sandrine en ouvrant sa portière mettant fin à notre trop courte conversation. C’est un peu déçu que je vais chercher mon sac et me dirige vers l’entrée de la salle, pourquoi être autant en avance pour s’échanger quatre mots. Bon je suis quand même difficile puisque ces petites ...
    ... phases m’ont diablement excité. Nous sommes les premiers arrivés, premiers en tenue et c’est donc en avant-première que je peux me délecter de la tenue de ma belle. Elle porte une robe de tennis comme certaines de ses collègues portent parfois. Je suis conquis par sa fraîcheur et troublé lorsqu’elle dit d’une voix mutine : — Tu comprends pourquoi la culotte m’aurait manqué…— (long silence)— Mais ne t’inquiète pas je te la rendrai…— (silence quand tu nous tiens)— Allez mets-toi en face, on va se faire quelques échanges de volant ! Je me régale de la voir se déplacer dans sa jupette même si je n’ai pas l’occasion de jouer avec ou contre elle ce soir-là. Sa culotte, je la vois parfois comme de petits flashes blancs. Rien d’anormal mais ces visions font fourmiller mon ventre dangereusement. Comme mardi dernier, je suis obligé de faire jouer ma main pour soulager mon cerveau embrumé. Plus de petites allusions, pas même un regard un petit peu coquin, rien jusqu’à ce que nous nous retrouvions dans la pénombre près de nos autos. Je dépose mes affaires dans son coffre, elle me remercie comme à son habitude puis me tend la culotte de coton blanc trempée de sa sueur. Je prends l’offrande dans la main comme si cela était le bien le plus précieux que j’ai jamais tenu et le dépose au fond de la poche de mon manteau. Sandrine n’a pas l’air pressé de partir, elle parle, surtout de sa nouvelle tenue. Elle vante la douceur du tissu ainsi que son confort. Puis elle finit par avouer qu’elle a ...
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