1. Leslie NR14


    Datte: 13/04/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... j’allais oser lui demander trente euros. Je caressais ses couilles de ma main libre et décalottais la verge pour commencer à lui titiller le prépuce avec mes doigts, une odeur de fauve me saisit et m’excita en même temps. - Tu me donnes trente euros et je te suce comme une reine, dis-je. Avec une voix mal assurée, mais en proie à une grande excitation d’avoir osé assumer mon fantasme de faire la pute. Il me tendit à regret la somme en me disant : - Je me doutais qu’habiller comme cela tu n’étais qu’une salope qui tapine, et tu m’excites avec ton air d’adolescente sage. Il me fit monter dans sa voiture et je me mis à le besogner par des caresses buccales gourmandes et goulues, et il exultait : - Ah la salope ! Je savais que tu étais une vraie pute sous tes airs de petite ingénue. Il se mit à me titiller les seins et à me caresser. J’accélérais le rythme en le pompant avec plus d’ardeur, car je voulais terminer ma fellation avant qu’il n’ait l’envie d’explorer mon entrejambe, craignant sa réaction. Bientôt, il souleva ma jupe, je guidais ses mains sur mes fesses pour les détourner de mon sexe. Aussitôt, il me pelota délicieusement le cul, et je continuais à m’activer pour parvenir à faire jaillir son nectar. En même temps qu’il éjaculait dans ma bouche sa main effleura ma bite. À ce contact inopiné, il réagit immédiatement en me repoussant des deux mains, empêtré dans son pantalon et son slip lui entravant les genoux, il ne put que s’exclamer : - Ma parole, t’es un travelo ! ...
    ... Rends-moi mon fric, connasse ! Il ne parvint pas à m’empêcher de m’extraire de sa voiture d’un bond et de franchir en un instant la distance séparant le véhicule du quai longeant la Seine. Je me suis mise à courir et réussit à me réfugier sous un pont, puis j’ai laissé passer quelques minutes avant de sortir de ma cachette, discrètement. Quand je suis remonté sur la rue, celle-ci étais déserte et je n’avais qu’une envie, celle de me réfugier dans mon studio, alors je fus trop heureuse quand une voiture s’arrêta pour me raccompagner chez moi… Une fois en sécurité à bord de la voiture, ma tension retomba. L’homme au volant me dévisagea avec curiosité et il m’interrogea d’une voix douce : - Tu as eu des problèmes ? Ce quartier n’est pas très sûr la nuit. Je retrouvais mon calme petit à petit et décidais de mentir et d’évoquer une agression. Il me proposa de m’emmener au commissariat pour porter plainte. Je ne pouvais pas accepter, sachant que ce que j’avais fait pouvait être considéré sans aucun doute comme de la prostitution occasionnelle, sachant que la police s’en rendrait compte rapidement. Je refusais donc la proposition. Il me sourit et me confia : - Tu sais ma puce, tu es charmante mais j’ai vu tout de suite que tu es un garçon, car je suis physionomiste, à l’entrée d’une boîte de nuit et j’en vois assez souvent, des filles dans ton genre. Je me mis sur le champ à redouter d’être de nouveau en danger, alors il me prit la main, comme pour me tranquilliser et me dit : - N’aie ...