1. Résonnances de l'aube


    Datte: 13/04/2019, Catégories: fh, hagé, fagée, collection, pénétratio,

    Ce matin, elle avait émergé de sa torpeur tiède, dans le désordre de sa couette, le visage encadré par les mèches indociles de sa chevelure, enfoncé dans la plume de l’oreiller, avec le sentiment d’une urgence. L’urgence et la nécessité absolue que son ventre languissant se remplisse de la turgescence d’un vit gonflé, que son vagin s’empare et s’approprie un joli mât de chair vibrante qui le fouille attentivement et que tout son pelvis vibre sous les secousses appuyées d’un chibre conquérant. De celui du mâle qui dormait encore à côté d’elle. Jusqu’à ce qu’elle s’ébranle et se branle sur ce pieu tellurique, qu’elle saisisse, des couilles apposées contre son rondeau fripé, soleil noir au milieu de son cul, la contraction génésique. Qu’elle s’inonde et se baigne la longue chevelure de crin noir, qui va de mont de Vénus à vulve ouverte et raie culière, dans la mixture et la miction de son jus et de son foutre, qu’elle manipule son sexe, qu’elle malaxe la chair douce et chaude sous la peau fine et tendue, que le frottement du gland lui fasse hurler sa jouissance jusqu’à ce que les bourges du dessus et les pisse-froid du dessous se mettent à taper comme des sourds contre les murs, le plafond et le plancher pour que cesse cette insanité qui leur fait comprendre l’océan de leur refoulement !. Qu’ils puissent la regarder d’un œil haineux lorsqu’elle monterait avec eux dans l’ascenseur ! Qu’ils puissent la mater, la déshabiller du regard, la foutre totalement à poil, la fouiller, la ...
    ... tripatouiller, plonger leurs yeux au fond de la vallée qui sépare au fond de son décolleté ses mamelles exposées, eux qui n’ont jamais osé lui dire qu’ils la baiseraient bien à couilles rabattues ! Bien trop peur qu’elle refuse, les branques ! Libre, pas pute ! Le choix, c’est elle qui le faisait ! Les frustrés, elle les haïssait, et elle jouissait d’autant plus fort en sachant que ses cris déchaîneraient leurs imprécations de culs bénis ! Elle s’était maintenant découverte. Dans le rai de lumière qui s’immisçait avec le jour dans la pièce, son ventre rond luisait du moutonnement de sa toison, et elle avait maintenant rapproché les pieds de ses fesses et écarté ses cuisses grandes ouvertes en compas, comme pour aérer ses nymphes gonflées et déjà humides, tandis qu’elle aventurait distraitement un doigt sur la saillie de son clitoris, s’amusant à le faire se dresser d’entre les plis de son capuchon, chaque pression la faisant se tendre et se tordre sur sa couche en lui coupant la respiration. A côté d’elle, il gisait, l’amant d’un soir, découvert, la verge recroquevillée et reposant vers l’aine. Elle avança le bras jusqu’à ce qu’elle perçoive la solidité de la charpente, la tiédeur de l’épiderme, la douceur du poil, et enfin ce pénis mou, comme gélifié, au sommet des bourses, cette masse à la fois imposante et invertébrée. Elle se glissa le long de son corps, posa la tête sur son nombril, le visage tourné vers la queue, le nez dans la touffe au-dessus de la bite flaccide. Elle ...
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