1. La quarantaine épanouie avec un jeune amant épanouissant...


    Datte: 22/06/2017, Catégories: fh, fplusag, gros(ses), grosseins, groscul, poilu(e)s, odeurs, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, confession,

    ... contrario électrisante. Cela paraît sans doute un peu réducteur et pourtant ce détail ne m’a jamais trompée : un adepte des années 80 aura peu de chances de me séduire, par contre celui qui écoute des choses plus pointues, rock ou électro (Archive, Woodkid et j’en passe…) aura plus de chances de retenir mon attention à tout point de vue. Ça ne veut pas dire que je suis complètement puriste : j’écoute aussi de parfaites daubes commerciales, variétés, pop, électro, mais je ne m’en vante pas pour rester en apparence « droite dans mes bottes » ! Il faut savoir préserver son image ! Donc forcément, quand un jeune, plutôt mignon et musicien, avec des goûts musicaux intéressants, noue contact avec moi, malgré le cas de conscience qu’il me procure (24 ans… Argh !), je suis sceptique à l’idée de le rencontrer. D. 24 ans. Au départ, hésitante pour accepter le contact, le profil musicien, plutôt mignon attire mon attention malgré tout. Le bougre a piqué ma curiosité. À la fac j’étais toujours attirée voire en pâmoison devant ce type de profil, visage doux, un peu rêveur, le cheveu pas tout à fait court, très grand, critère important pour moi, j’ai besoin de me sentir protégée dans des bras qui m’enrobent. Justement toujours enrobée que je suis, j’ai gardé pas mal de rondeurs qui ne feront jamais de moi une femme mince, j’ai un corps abîmé et imparfait et j’aime ces rondeurs et leurs cicatrices, reflets de mon parcours chaotique de femme. Ces mêmes rondeurs ont donc besoin de bras ...
    ... assez longs et grands pour les accueillir. En fait au même moment j’avais deux contacts et deux cas de conscience : un homme marié, mais plutôt mignon de sa personne et qui me relançait, 33 ans, et D., jeune, si jeune… Finalement j’ai décidé de mettre de côté l’homme marié, estimant que je méritais mieux que ce genre de situation où l’autre voudra que je sois à sa disposition sans que je puisse avoir la moindre exigence. J’ai donc poussé l’échange avec mon jeune contact, moins dangereux sans doute en terme d’attachement, et pensant que de toute façon, il y avait peu de chances que cela aille plus loin. Et pourtant ! Contact pris, un début de dialogue s’instaure, il n’est pas extraordinairement bavard, mais agréable. Tout comme moi, il ne se pose pas de questions existentielles et vit l’instant sans trop de projections. Gentiment flatteur, au bout de quelques jours il propose que l’on se voie. Quelques mesures de précautions s’imposent, il m’invite directement chez lui, mais j’exige prudemment que l’on se voie d’abord en dehors. À l’époque j’avais une boutique en ville, mais j’habitais à la campagne à quarante minutes. D. n’étant pas véhiculé et habitant à cinq minutes de la boutique, je lui propose de venir une heure avant fermeture pour faire connaissance. Le bougre se fait attendre, je le soupçonne d’avoir retardé son arrivée pour ne pas nous laisser d’autre choix que partir directement chez lui. Un peu de stress, je vais même jusqu’à penser qu’il ne viendra pas et puis, un ...
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