1. L'université : de la soumission à la consécration (7)


    Datte: 14/04/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... plus près. Au-delà de sa taille, je le trouve... beau. Moi qui n’ai jamais aimé cela, j’ai soudain envie de le prendre en bouche. Nicolas n’est d’ailleurs pas en reste, il m’appuie encore légèrement sur l’arrière de la tête. — S’il vous plait Catherine, sucez-moi... soupire-t-il. Je m’exécute enfin. J’embrasse d’abord son gland, trempé de liquide séminal, puis je le suçote avec tendresse. Son goût est plus fort que celui de Marc, mais meilleur aussi. Sans doute est-ce dû au fait que ce n’est qu’un adolescent. J’avale le lubrifiant qu’il sécrète avec plaisir, presque avec gourmandise. Non seulement il n’est pas mauvais, mais surtout cela m’excite de jouer les salopes. C’est la première fois de ma vie que cela m’arrive. Là encore, Nicolas m’arrache à mes rêveries d’une nouvelle pression sur le crâne. Il n’est plus d’humeur tendre et joueuse, il veut en finir. Le geste est brutal, je me retrouve soudainement avec près d’une vingtaine de centimètres de queue dans la bouche. Il m’attrape une bonne touffe de cheveux, puis il m’insuffle lui-même son rythme. Sans tendresse, mais sans me faire mal. Il me fait monter et descendre sur sa verge avec vigueur. — Putain, c’est trop bon, lâche-t-il. Allez-y Catherine, sucez-moi bien ! J’imagine que ces propos graveleux lui font du bien, l’aident à s’exciter encore d’avantage. D’ailleurs, moi aussi ils m’excitent. Je rêve de m’avilir de la pire des manières, de lui dire que je suis sa pute, sa chienne, qu’il peut faire ce qu’il veut de moi. ...
    ... Heureusement, j’ai la bouche trop pleine de sa virilité pour parler. Ce traitement ne tarde pas à l’emmener au point de rupture. Sa respiration s’accélère, les mouvements qu’il m’impose aussi. Il commence à me faire mal en me tirant les cheveux de plus en plus fort, mais il change bientôt de tactique. Maintenant, il me maintient au contraire le visage en place et m’impose ses mouvements de bassin. Il me baise la bouche, je suis plus que jamais son jouet, son vide-couilles. Il gémit de plus en plus fort, je sens qu’il arrive. Soumise, je le laisse faire à son rythme, me contentant de bien serrer les lèvres pour lui procurer un maximum de plaisir. — C’est trop bon Catherine, je viens ! Hurle-t-il. Je songe un instant que Justin a pu rentrer, et qu’il est donc risqué de crier ainsi, mais un jet de sperme bien chaud jaillit dans ma bouche, coupant court à mes pensées. — Bouffez tout, vieille salope ! Ajoute-t-il avec poésie. Un deuxième jet arrive, visqueux et aussi abondant que le premier. Je ne suis pas loin d’avoir déjà la bouche pleine, mais je refuse de les avaler, souhaitant lui montrer à quel point je suis docile et soumise. — Ah... grogne-t-il tandis que les derniers jets arrivent, de moins en moins abondants. C’est trop bon Catherine, vous une vraie chienne en chaleur ! Putain ce que c’est bon ! Lorsqu’il a manifestement fini, que son sexe a cessé de se contracter et que le flot de sperme s’est tari, je lui adresse un grand sourire puis ouvre la bouche pour lui montrer ...
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