1. L'université : de la soumission à la consécration (7)


    Datte: 14/04/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... pour un massage. Mais là encore, mes pensées s’égarent et me font douter. — Oui, vas-y, lui dis-je néanmoins. “Que pourrais-je répondre d’autre ? Il va me prendre pour une vieille coincée sinon. D’un autre côté, que se diraient mes enfants ou mon mari s’ils arrivaient à ce moment-là ?” Ses mains semblent aussi expertes pour retirer un soutien-gorge que pour le reste. Il le dégrafe en un clin d’œil, puis laisse retomber les lanières sur les côtés. Il reprend alors son œuvre, descend jusqu’en bas de mon dos, puis remonte tout aussi doucement. Je ne pourrais dire combien de temps durent ses caresses, car je suis complètement transportée par son savoir-faire. En transe. Les yeux mi-clos, je crois que je pourrais même m’endormir. Mais je le vois bientôt se redresser à côté de moi. — Huumm... c’est déjà fini ? Je le taquine d’une voix empâtée par le bien-être. Il sourit. — Non, mais j’ai mal aux genoux. A ma grande surprise, il vient alors s’asseoir au-dessus de moi, une jambe de chaque côté de mes fesses. Il se tient légèrement surélevé, ce qui fait qu’il n’y a quasiment pas de contact, mais la position me perturbe. “N’est-ce pas trop proche, pour une belle-mère et son gendre ?” — C’est comme ça que tu masses d’habitude ? — Ça arrive, répond-il, parfaitement sérieux. Ça dépend des clientes. — C’est vrai ? C’est assez... intime, non ? — Je n’ai que peu de clientes, on est donc devenus plus intimes avec le temps. J’ai de plus en plus de mal à me convaincre que je me fais des idées. ...
    ... Ce qu’il me décrit a plus à voir avec le travail d’un gigolo qu’avec celui d’un masseur. Et quel salon embaucherait un jeune de son âge à temps très partiel ? Mes pensées vagabondent tandis qu’il reprend son œuvre. Je ne tarde pourtant pas à en perdre le fil de nouveau, tellement ses caresses me transportent. Il me masse maintenant les bras autant que le dos, je suis de nouveau dans un état second. Bientôt, un élément me ramène brusquement à la réalité. Tout à son travail, il a progressivement relâché sa position, ce qui fait qu’il est maintenant assis sur mes fesses. Cela ne me pose pas de problème en soi, mais je sens désormais nettement ce que je n’ai fait qu’apercevoir tout à l’heure : il a une érection. Son sexe dressé est niché juste au creux de mes fesses. Je le sens même se balader le long de ma raie, selon s’il s’étend pour me masser le haut du dos ou s’il se détend pour me masser le bas. Et mes yeux ne m’ont pas menti : ce n’est pas un pénis, c’est une matraque ! Cette situation me trouble et me gêne atrocement. Ce qui se passe n’est pas tout à fait anodin, il est en train de ressentir une excitation sexuelle en caressant mon corps presque nu. “Mais je suis sa belle-mère, et j’ai deux fois son âge !” Pour ne rien arranger, ses doigts se font de plus en plus aventureux. Il me masse bientôt le devant des épaules, et plus seulement l’arrière. Ses mains descendent doucement, jusqu’à caresser la naissance de mes seins. “Va-t-il s’arrêter ? Faut-il que je l’arrête ?” Je ...
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