1. L'université : de la soumission à la consécration (7)


    Datte: 14/04/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... total du buste. Mais ça n’a rien de... Sexuel. Je le regarde en fronçant les sourcils. Me prend-il vraiment pour une idiote ? Mais d’un autre côté, ne serait-ce pas plaisant de jouer le jeu avec lui ? De voir jusqu’où il pourrait aller, jusqu’où pourrait nous entraîner ce “jeu” ? — D’accord, je suis désolée d’avoir réagi comme ça. Il me dévore du regard, et je mets un moment à me rendre compte qu’en me relevant, je lui ai totalement dévoilé ma poitrine désormais nue. — Vous avez de très beaux seins, me dit-il, sans chercher à cacher qu’il les observe. Je rougis jusqu’aux oreilles, comme une adolescente. — Merci. Il approche sa main, lentement, et je le laisse faire. Il attrape alors un de mes seins et commence à le malaxer avec tendresse. Il fait rouler le téton entre ses doigts, puis de son autre main il fait de même avec son jumeau. Il n’y a plus l’excuse du massage. Il n’y a plus d’excuse du tout. Mais j’adore ça... — Ils sont énormes, souffle-t-il, apparemment hypnotisé par la masse de chair qu’il tient délicatement entre ses doigts. Et ils sont si doux... — Merci, je réponds dans un souffle. Je ne sais pas trop quoi faire. Une partie de moi souhaite tout arrêter, bien consciente que je suis déjà allé trop loin, tandis qu’une autre veut prolonger ce « jeu » jusqu’à son terme. Perdue entre les deux, je ne réagis pas, laissant Nicolas poursuivre son avantage. Il commence alors à me caresser le téton avec son pouce, en faisant des cercles autour, puis en l’effleurant ...
    ... parfois. Bientôt, son index le rejoint et il le pince légèrement, mais avec tendresse. Il continue ainsi à jouer avec un moment. Mon entrejambe est trempé, et je dois me retenir pour ne pas soupirer d’aise. J’ai presque réuni assez de forces pour lui dire de s’arrêter lorsqu’il approche soudainement son visage de ma poitrine et embrasse mon téton avec douceur. Une vague de frissons m’envahit de nouveau, ce qui me fait perdre la tête. Le temps que je me reprenne, il me tète déjà le sein droit, qu’il tient dans sa main, tout en malaxant le gauche. Je suis aux anges, et lui aussi. "Encore une minute. Je l’arrête dans une minute." Mais sa main gauche ne tarde pas à abandonner mon mamelon pour me caresser. D’abord le bras, puis l’épaule. Ses gestes sont doux, lents, contrôlés. Il ne semble pas si innocent et inexpérimenté que cela finalement. Bientôt, il me caresse le ventre, descend au-dessous de mon nombril. Je sais où il va, mais je ne sais pas si je dois l’arrêter. "Oui, c’est déjà allé trop loin !" hurle une partie de mon esprit. "Non, laisse-le juste encore un peu", rétorque l’autre. "Tu n’es plus à ça près, et ce ne sont que des attouchements. " Je jette un rapide coup d’œil sur la bosse qui déforme son short : elle n’a pas diminué, bien au contraire. Je suis si prude, si ignorante de toutes ces choses que je pensais que ma libido – déjà basse au départ – s’était envolée avec les années. Mais non, il fallait juste la solliciter de la bonne manière ! Moi qui n’ai jamais eu de ...
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