Mes meilleurs amis - Histoires de Sexe

Mes meilleurs amis

... donc si tu rentres avec Marc, demain tu risques de te réveiller dans ton corps mais dansmon lit avecmon copain !— Heu…— Putain, tu fais chier !— Calme-toi ! De toute façon avec Marc, il y a urgence pour sauver votre couple, alors on va trouver une solution. Bon d’abord, je vais me changer, tes seins tiennent pas dans mon soutif ! Tu veux te changer ?— Ben… oui… je peux te prendre ta petite robe blanche ?— Oui, viens. On alla dans ma chambre pour se changer, elle se déshabilla sans me regarder. Elle était de dos et je voyais mon petit cul. Pour la première fois de ma vie je pouvais le regarder librement, c’est vrai qu’il était pas mal, je me mis à sourire. Elle se retourna, intégralement nue, en me demandant où était ma robe, je la lui tendis. En l’attrapant je la vis regarder mes seins, puis parcourir mon (son) corps. — C’est dingue quand même ton truc. Tu peux te tourner ? Se voir de l’extérieur c’est… hyper troublant !— C’est vrai que tu as un corps sublime !— Toi aussi… On s’embrassa à nouveau, on se caressa longuement les seins, les fesses… Mes mains glissèrent vers son (mon) pubis. J’en connaissais bien le goût mais je n’avais jamais pu le regarder comme ça. Camille s’allongea et je commençai à la lécher. Très vite je me tournai pour qu’elle puisse me rendre la pareille. C’était trop bon, on commençait vraiment à prendre un plaisir non dissimulé quand tout à coup quelqu’un frappa à la porte. — Oh non pas maintenant ! dit Camille.— Maria ? C’était Marc, il était arrivé. ...

... On se rhabilla rapidement et on lui ouvrit la porte. — Ça va les filles ? Il était super bien habillé avec son costard et une chemise sans cravate légèrement ouverte. Une petite barbe de trois jours pour lui faire un côté sale-gosse. Il s’approcha de moi et m’embrassa langoureusement. Je faillis le repousser en oublient mon rôle. Camille s’approcha et lui fit la bise en me jetant un regard noir. Elle était dégoûtée mais elle ne pouvait rien faire. — Installe-toi, je vais aider Camille à préparer le repas.— Tu veux dire que tu vas aider Maria ? Ça va toi ? Je te trouve bizarre ce soir.— Heu oui, non, enfin ça va, pas de soucis. En cuisine on s’isola avec Camille, et on essaya alors d’organiser la soirée. — Bon, il va falloir qu’on fasse ça ici, lui dis-je.— Heu, il nous faut un prétexte pour rester dormir alors !— Pas de soucis pour ça, j’ai quelques bouteilles, ça fera l’affaire. Elle me regarda, troublée, je l’embrassai en la caressant. — Ne t’inquiète pas, ça va bien se passer.— Oui mais comment, enfin, quand est-ce qu’on redevient nous-même ?— Comment te dire… Il faut que j’avale le sperme de Marc.— Quoi ? Mais je déteste le goût du sperme et il le sait très bien ! Et ensuite ?— Je mettrai ça sur le coup de l’alcool, je sortirai de la chambre et tu viendras reprendre ta place. Si on fait ça dans le noir, il ne se rendra compte de rien.— Bon ben de toute façon, on n’a plus le choix.— À moins que ce ne soit toi qui avale son sperme… On n’a pas le choix.— Ouais…— Les filles, ...