1. Mamie Geneviève (8)


    Datte: 14/04/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    Mamie Geneviève 8 Ma fille Virginie est tombée dans le traquenard que je lui ai tendu. Ses enfants et moi lui avons montré toute notre perversion et en jouissant avec son fils, elle s’est rendue désormais complice de notre lubricité familiale. Je ramasse nos culottes sur le sol et hume la sienne avant de les tendres aux enfants. D’abord Christelle profite de nos parfums, puis David utilise la mienne pour finir de s’essuyer. Je quitte mon chemisier et demande : « Virginie, tu veux bien enlever mon soutien-gorge ? » « Mais … Maman ! » Je lui tends mon dos et ses doigts s’affairent sur l’agrafe. Je suis plutôt fière de ma poitrine qui se tient encore bien malgré mon âge. J’enfile mon chemisier et le reboutonne. Je sais que la transparence du tissu laisse mes auréoles apparentes et Virginie reste muette quand je lui expose ma poitrine. « Ca te plait ma chérie ? » « Oh ! Maman ! » « Tu peux en profiter si tu veux » Elle reste figée encore abasourdie par tant de révélations. Christelle s’est approchée de moi et sa paume effleure un téton avec une douceur indescriptible. Je me tourne vers elle avec reconnaissance et elle se penche pour m’embrasser. Elle a le goût de la semence de son frère mais sa langue agile me le fait oublier rapidement. Je sens une autre main pétrir mon autre sein, ce doit être David. Quand je peux regarder, je constate que David tient le poignet de sa mère et que c’est elle qui me pelote. Christelle se recule et David lâche sa mère et cette dernière ne ...
    ... délaisse pas mon sein pour autant. Elle semble résignée à me caresser. J’approche mon visage du sien et elle me regarde, effarée, craignant la suite. Pourtant, quand nos lèvres se touchent, elle ne se recule pas et me laisse l’embrasser. Si c’est nouveau pour moi le baiser entre femmes, j’avoue y prendre goût. Surtout qu’elle y met plus d’entrain. Le baiser terminé. Je me redresse et annonce qu’il faut passer à table. Ma fille est toute chancelante et Christelle l’aide à rejoindre la table. Petit à petit, elle se détend mais n’ose pas poser de questions. Hormis David, nous n’avons pas beaucoup d’appétit. Comme je m’y attendais, les enfants souhaitent retourner chez eux, tant que leur père est absent. Alors qu’ils sont montés préparer leurs affaires, Virginie ose briser le silence. « J’ai honte maman, que va-t-il arriver maintenant ? » « Ne t’inquiètes pas ma chérie, profites de la vie ! Tes enfants que tu juges peut-être pervers sont en réalité d’excellents amants. Et puis tu as vu comment David est équipé. Quand tu as ça dans le derrière, je t’assures que tu le sens passer. » « Tu veux dire que … » « Une fois, c’est tout ! Mais je suis prête à recommencer ! Et puis, toi tu aimes ça, n’est-ce pas ? » « Oh ! Maman, ça me gêne que tu parles comme ça… » « Ecoute Virginie, on va pas faire des manières. Papa te l’a fait aussi, avant même ton mari, pas vrai ? » « Euh, oui, je suis trop gênée de te dire ça ! Papa aimait … » « T’enculer ! Et … Tu aimais ça ?» « Pas au début, j’avais mal. ...
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