Hélène (4)
Datte: 14/04/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Hélène Initiation. (1ère partie) — Shhpling. — Chéri, viens vite, j’ai fait une bêtise. Pierre court du salon à la cuisine. Hélène en sortie de bain, est pieds nus, au milieu de la cuisine, des petits débris de verre tout autour d’elle. -Ne bouge pas ! Ne va pas te blesser ! Assis-toi ! Lui dit-il en avançant une chaise sous ses fesses. Puis il revient, traînant d’une main l’aspirateur, et portant de l’autre les pantoufles de son amoureuse. Un petit coup du dépoussiéreur, et tous les morceaux de verre sont ramassés. Puis, chevaleresque, il s’agenouille et enfile ses mules à son aimée. Il en profite pour poser la main sur la cheville, remonte, puis il caresse l’intérieur de la cuisse. Hélène pousse un léger soupir et s’ouvre. Les doigts coquins glissent jusqu’à la toison intime de la belle, et commencent à lisser la pilosité de Madame. Ils en profitent pour agacer le bouton caché. — Amour, arrête. Fait-elle en bloquant l’index fripon. — Jouons plutôt après le diner. Ajoute-t-elle. Après le repas, nos deux amoureux s’installent dans le canapé dans leur position favorite. La belle est assise près de l’accoudoir, les pieds posés sur le pouf ; son chéri est allongé sur le reste du sofa. Après avoir écarté les pans de la sortie de bain, il pose sa tête sur la jambe de sa compagne. En tournant la tête d’un côté ou d’un autre, il peut embrasser au choix, la cuisse, ou les rondeurs de sa sultane. La sainte chérie pose sa main sur le torse ou sur le cou de son amant, comme si elle ...
... caressait un gros chat. — Qu’est ce qui s’est passé tout à l’heure dans la cuisine, ma chatte ? — J’étais en train de vider le lave-vaisselle et une flûte m’a glissé des mains — Tu as cassé une de mes coupes, c’est un scandale. Répond son homme à moitié rigolard. — Je suis une vilaine fille, je mérite une punition. Lui rétorque Hélène sur le même ton. — Tu ne crois pas si bien dire. Pierre se redresse. -Allez, allonge-toi en travers de mes genoux. La mature friponne s’exécute en pouffant, et s’installe commodément. Son seigneur glisse sa main dans le décolleté de la belle. Il saisit le sein gauche et emprisonne le téton entre l’index et l’annulaire, et les resserrent légèrement, pinçant tendrement la pointe érigée. — Fessée déculottée. Précise son sultan en rabattant sur son dos les pans de son peignoir. Un léger frisson (de froid ?) parcourt la mappemonde opulente de la future victime. Délicatement, Monsieur caresse le fessier offert. Le spectacle de ce cul magnifique l’émeut. — On dirait que mes fesses ne te laissent pas indifférent, mon amour. Badine Hélène. — Oui ma chérie, j’aime ton cul, il est tellement beau que j’en mangerai. Et se penchant, il mord tendrement la fesse qui s’offre à sa bouche. — Cannibale, je vais avoir une marque. — J’espère qu’il n’y a que moi qui la verrai. — Chéri, je suis une femme fidèle, mon cul n’est qu’à toi. — Au fait, c’est douze, et c’est toi qui compte. Lui répond Pierre — Douze quoi. Mais Hélène s’interrompt, la première claque, à peine une ...