1. Ma sœur Faten. (1)


    Datte: 15/04/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... trop rapidement, ma main s’est mise à trembler, je voulais glisser mon doigt sous le tissu, mais c’était très difficile, je risquais de me casser le bras ou le blesser. Mais, pour le faire, il fallait un grand effort et il me fallait prendre certaines précautions, il ne faisait pas encore nuit. Je jetai un coup d’œil sur les personnes assises devant, ensuite sur celles d’à côté de moi et là, je fus presque frappé par la foudre, tout mon corps se glaça, j’étais trop collé à FATEN, comme si je la baisais par-derrière et le comble, c’était presque vrai. Je ne m’étais pas rendu compte que mon corps l’épousait trop, comme je le faisais, des fois dans le bus, quand l’occasion se présentait derrière une fille. Toute personne, me voyant dans cette position, dira que je la baise avec sa bénédiction et pour la brute, ça sera l’occasion inouïe de nous égorger tous les deux avec un large sourire. Dans sa croyance, par ce geste, il ira tout droit au paradis. La peur me fit faire un geste incontrôlable, tout mon corps s’est jeté, involontairement, sur la porte, d’où un choc et le bruit a réveillé les endormies et surtout le fanatique qui a tourné sa tête pour savoir d’où venait ce bruit. « Qu’est-ce qui se passe, derrière ? – Rien, lui dis-je, j’ai fait un cauchemar ! » Ils se sont tous réveillés, je me suis mis tout petit pour éviter de toucher ma sœur. J’avais trop honte, je lui tournais le dos, regardant la nature par la vitre, mais malgré ça, je me sentais vile créature, coupable ...
    ... d’un geste, même involontaire et je n’arrêtais pas de penser quand la divorcée, involontairement, me cogna la nuque avec son poing, je me retournai vers elle, elle s’empressa de me présenter des excuses, tout en criant : « mais tu as du sang sur le visage ? ». Ça m’a étonné, mais effectivement, j’avais du sang qui coulait de ma tête, ma main en était pleine, comment je n’ai pas senti ça ? FATEN criait aussi, ma mère me demanda : « montre-moi ça ! », et ce fut tout le monde qui s’inquiéta, y compris le chauffeur qui stationna sur le bas-côté ; pour courir ouvrir la malle et en retirer de ce qu’il en restait d’une boîte qu’il surnommait la "boîte à pharmacie". La bouteille de chloroforme était presque vide, mais le coton existait, c’était l’essentiel. Le temps que le chauffeur me nettoie la plaie, les autres se sont dégourdi les jambes. Ce n’était pas trop grave, on a repris le chemin et heureusement, il faisait nuit, je ne pouvais regarder ma sœur en face. Pendant tout le trajet, je n’arrêtais pas d’essayer de me convaincre que FATEN était endormie, sinon c’était la honte de toute ma vie, si elle pensait que je l’avais fait volontairement. J’ai commencé à avoir une petite fièvre, j’avais envie de pleurer, mais je n’ai pas pu. vnttwq Comment avoir la conviction qu’elle était endormie ? Même si elle l’était, épousant son corps de cette façon, elle se réveilla de facto, j’allais tomber malade. Comment lui faire comprendre que c’était involontaire et, inconsciemment, que jamais je ...