Nicole, prête à tout (3)
Datte: 15/04/2019,
Catégories:
Transexuels
Je m’installai donc pour deux semaines de plus dans mes petits appartements. Au moins j’avais un toit et à manger pour les jours à venir. D’autant plus que le ciel sombre n’annonçait pas un été indien. La proposition était des plus étranges : on voulait me payer pour faire l’amour. Ça c’était le bon côté de choses. Le mauvais, et pas des moindre était que je devrai baiser avec des hommes, que je devrai sucer des queues et me faireenculer, et cerise pourrie sur le gâteau moisi, le faire en étant habillé en femme ! La question donc devenait : est-ce que le positif avait plus de poids que le négatif ? Plus tard, Isabelle et Igor frappèrent à ma porte. Ils amenaient une petite télé à écran plat, un lecteur de DVD portable et un carton contenant toute la documentation qui m’aiderait à décider. — je t’invite à commencer par ces DVD, me dit Isabelle en me montrant les boites posées sur le dessus aux titres évocateurs comme « sissy slut school », « sissy slut manual » ou encore « sissy slut motel ». Je ne comprenais pas le moindre mot en anglais mais la jaquette à elle seule était tout un programme. Je commençai donc ma formation, ou plutôt ma prise de connaissance sur un sujet qui m’était totalement étranger. Bien sûr, j’avais entendu parler de travestis et de transsexuelles. Mais pour moi, cela ne restait que des personnages de spectacle ou de cinéma. Plus ça allait, et moins je me voyais habillé en fille. Quant à me faire enculer régulièrement, ce n’était pas acquis. Loin de ...
... là. Malgré tout, je n’avais rien d’autre à faire de de regarder film sur film. Et petit à petit, voir des êtres mi-homme, mi-femme se faire prendre dans tous les sens m’excitait de plus en plus. Et à force, je commençais à considérer ces créatures plus comme des femmes avec une bite à la place d’une chatte que des hommes habillés en femme. Plus tard, Isabelle vint m’amener d’autres vidéos et encore plus de revues, celle-ci bien plus fétichistes, principalement axées sur les jambes, la lingerie. Cette fois, pas de travestis, que des femmes qui prenaient un malin plaisir à enfiler des bas, déambuler avec talons d’une hauteurs à peine croyable, se masturber en jouant avec le nylon de leur bas. Si les trans m’excitaient, ces femmes m’excitaient encore plus. Deux jours plus tard encore, Igor vint me chercher et m’emmena à l’étage, comme la dernière fois. On refit l’amour. Mon cul subit une nouvelle fois la pénétration du sexe factice d’Isabelle. Et pour l’occasion, elle avait revêtu la même lingerie fétichiste que montraient les dernières revues. Et si la première fois, elle avait été plutôt silencieuse, cette fois, elle n’arrêta pas de faire l’éloge du nylon, de sa douceur, du crissement qu’il émettait lorsqu’il entrait en contact avec un autre bas. Au fur et à mesure de nos jeux, elle finit totalement nue et après l’avoir honorée, rapidement, elle me renvoya dans mes pénates non sans me laisser ses dessous en souvenir. Et comme Isabelle l’avait prévu, mes décisions fermes et ...