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Plaisir sapphique avec une quadra (2)
Datte: 15/04/2019, Catégories: Lesbienne
... Je le portai à mon cul pour entrer dans ma rondelle encore vierge de toute pénétration. Quand mon doigt rentra dans mon anus, je me fis secouer par des vagues de plaisir proches d’un orgasme mais je ne l’avais pas encore atteint. Je ressortis mon doigt pour le rentrer à nouveau. J’étais humide de partout et je n’avais aucun mal à faire glisser mes doigts jusqu’aux phalanges dans mes trous. Je fis des allers-retours à l’intérieur. Je sentais la pointe de mes seins se durcir au point de me faire légèrement mal. J’aurais tellement aimé qu’on me les lèche, qu’on me les suce. Que Véronique me les suce pour être précise. A ces pensées, je partis enfin dans un feu d’artifice de plaisir qui me fit vibrer de partout. Je sentais beaucoup d’humidité tout autour de mes orifices. Je suis soulagée de nouveau. Je caresse encore mes seins brûlants et porte ensuite à ma bouche mes doigts humides. Je me relevai et me rhabillai mais sans ma culotte trop collante à mon goût. Je passai pour finir à la salle de bain pour me laver les doigts qui sentaient quand même le cul. Il était déjà tard car la nuit était tombée. Quand je me dirigeai dans la cuisine pour proposer mon aide, je vis Véronique qui cuisinait et un homme qui lui mettait une main aux fesses pour les lui presser. Elle ne semblait pas s’en préoccuper. Je raclai ma gorge et fit une entrée. « Oh tu es là. Clarisse, je te présente mon mari ...
... Francis. - Enchantée de faire votre connaissance. Dis-je en tendant ma main alors qu’il me fit une bise chaleureuse. - Bienvenue à toi dans notre maison ! me répondit-il. Véro t’a bien accueilli j’espère ? - Oui oui. Lançai-je avec un timide sourire. - Tu m’as l’air réservée ! Je pense que la capitale va te débrider si tu as la chance de sortir un peu. Me dit-il malgré tout avec bienveillance. » On a bu un apéro pour délier un peu ma langue puis nous mangeâmes le plat préparé par Véronique qui était délicieux. Après le repas, Francis partit se doucher et Véronique commença la vaisselle mais je lui proposai mon aide. Je me mis devant l’évier et pris la première assiette et j’ouvris le robinet au moment où Véronique me dit de faire gaffe. Le résultat fut une grande envolée d’eau sur mon corps légèrement vêtu. Mes seins étaient quasiment visibles devant la transparence de mon t-shirt mouillé. Mes tétons durcirent en deux temps trois mouvements comme ma honte et le rouge à mes joues. Véronique me dit : « Oh ma pauvre ! s’exclama-t’elle. » lhplmmy Elle prit un torchon et elle le passa sur mon haut frottant au passage mes tétons ce qui fit me mordre la lèvre car c’est ce que j’attendais depuis ma rencontre avec Véro. Ce que je n’avais pas vu c’est que mon pantalon était aussi trempé. Sauf que sans ma culotte, cela moulait complètement ma fente qui était toute saillante. Véronique se baissa et…