1. J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes. (6)


    Datte: 21/08/2017, Catégories: Zoophilie,

    ... des fesses rebondies. Ses jambes étaient poilues et solides. Il était à l’évidence plein de testostérone et je prévoyais de bien m’amuser. L’autre marchait à mes côtés en louchant ostensiblement vers mes seins. - Voila c’est là. Sur l’un des côtés de l’édifice religieux descendait un escalier vers des wc en sous-sol. Deux urinoirs et une porte constituaient ces commodités plutôt malpropres. - J’vais en profiter pour pisser dit le premier. - Moi aussi dit le second. Je m’en fus vers la porte et commençai à l’ouvrir mais ne rentrai pas dans cette chiotte à la turc. Le premier sortit sa bite et commença à pisser mais en se tenant volontairement assez loin de l’urinoir pour que je puisse voir le gros cylindre dans sa toison foncée. Le second, moins gêné laissa carrément tomber son short sur ses chevilles pour dévoiler son adorable cul blanc comme un linge. Je rebroussai chemin et me mis entre les deux hommes. Je posai ma main droite sur le cul découvert et tendis l’autre vers la bite que son propriétaire agitait pour en faire pleurer les dernière larmes. Les deux queues se dressèrent immédiatement. Je m’accroupis, ouvris mon chemiser et commençai à sucer à gauche et à branler à droite. Les deux types se tapèrent dans les mains et commencèrent à respirer comme des bœufs. Le plus jeune dit : - J’tavais bien dit que c’était une salope... tu vois. - Ouais, faudrait quand même pas se faire surprendre ! - Par le patron ? - Non, c’est un sacré niqueur... Il en profiterait aussi et de ...
    ... toute façon il doit rentrer tard. Non par Sabrina. Je m’interrompis de pomper pour demander : - Qui est Sabrina? - C’est ma copine. - On est con. On a les clefs de l’église. Ils remontèrent leur short qui cachaient médiocrement leur bandaison. Je rajustai à la hâte mon chemisier et nous rentrâmes dans l’église où un peu de fraicheur nous accueillit. - On va tout de même pas baiser là, dit le plus jeune. - Pourquoi ? - J’sais pas, c’est comme qui dirait sacré. - Il doit bien y avoir une sacristie ? Dis-je, respectant cette croyance. - Ah ouais. Après avoir cherché dans le trousseau de clef, nous trouvâmes celle qui ouvrait la petite pièce. Il y avait plusieurs meubles dont un banc. Je m’y allongeais offrant ma chatte à une extrémité et laissant l’autre garçon disposer de ma bouche. Autant le dire, ce n’étaient pas des bêtes de compétition. Celui qui me sautait poussait maladroitement sa queue sans rien faire de plus. L’autre me caressait les mamelles pendant que je le pompais. Son sexe était poilu et conservait un léger goût de pisse ainsi qu’une forte odeur d’homme qui ne constituait pas le moindre de ses attraits. Celui qui était dans ma chatte y éjacula très vite, sans que je pusse prendre mon plaisir au maximum. Son compère me demanda alors de me mettre debout, de me pencher sur la table et m’enfila par derrière. C’était mieux. Il variait en rythme et en mouvement, m’attrapait par les hanches, les épaules ou les seins et se montrait plus endurant, prodiguant des conseils au ...
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