Une rencontre mouvementée
Datte: 15/04/2019,
Catégories:
fh,
ff,
jeunes,
école,
toilettes,
fdomine,
noculotte,
init,
... les yeux et me concentrai sur l’intrusion de ce corps étranger en moi pour deviner ce que c’était. — Qu’est-ce que tu fais ? lui demandai-je, légèrement paniquée.— Laisse-toi faire, je t’ai dit, et ferme tes beaux yeux. Elle me répondit cette phrase avec un réel sourire de tigresse. Je fermai les yeux et sentis que cette chose qui entrait dans mon sexe était grosse, ça me faisait un peu mal, je dois l’avouer. Je sentais que petit à petit je me remplissais. La chose passa mon hymen avec une certaine facilité mais tout de même une petite douleur. Et soudain, le mal disparut. Mes lèvres intimes qui s’était écartées se sont à nouveau refermées. Seul un changement subsistait : je me sentais remplie. Julia, d’une voie douce, me dit alors : — Voilà c’est bon, tu peux regarder. J’ouvris les yeux et baissai la tête pour regarder mon sexe. Une petite chaîne, pas très longue, en sortait et je compris que cette chaîne était reliée à la chose qui se trouvait dans mon sexe. Devant mon incompréhension, Julia m’éclaira alors : — Je t’ai mis une boule de geisha dans le sexe, Joan.— Quoi ?— Ne t’inquiète pas ça ne fait aucun mal. Tu comprendras tout à l’heure. Allez, mets une jupe et un haut, et suis-moi.— Mais attends, je peux pas sortir ...
... comme ça ! Julia fouilla dans un de mes sacs de fringues et en sortit une jupe et un haut. — Tiens, mets ça et pas de sous-vêtements !— Mais t’es folle, je peux pas faire ça.— Fais-moi confiance, Joan, tu vas aimer. Je m’inclinai et mis la minijupe et le haut sans aucun sous-vêtement. Ça me dérangeait vraiment de pas avoir de culotte, parce qu’il fallait que je force pour garder la boule en moi et plus je forçais, plus je mouillais. C’est lors de mes premier pas que je compris l’intérêt de la boule de geisha. Elle m’a inondée d’un plaisir sans précédent ! Lorsque je marchais, et surtout sans culotte, je faisais bouger la boule dans mon sexe, ce qui avait pour effet de me rendre totalement folle. La mouille qui sortait de mon sexe coulait le long des jambes. Julia me regardait et me dit : — Tu as l’air d’apprécier, dis donc ! En effet, sans m’en rendre compte, j’étais en train de sourire. Nous avons descendu les escaliers et j’ai dû tomber deux fois pour me remettre de tant de plaisir. Nous sommes sorties du hall de l’appartement et sommes arrivées dans la rue. Julia me regardait en souriant. Elle était heureuse du plaisir qu’elle me faisait prendre. Et c’est à ce moment qu’elle dit : — Ok, maintenant, direction la boîte, chérie !