Piste magique
Datte: 21/08/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
couple,
inconnu,
vacances,
plage,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
confession,
couple+h,
... Ce que je trouvais pervers, le candaulisme, me semble maintenant si bon. Mais je voudrais que toi aussi tu trouves la jouissance, pas seulement le plaisir des yeux, le plaisir de la chair. La prochaine fois nous échangerons notre partenaire, ainsi chacun jouira avec un autre. Une idée folle germe dans ma tête. Et si… Mais… Mais si… Alors, sans vraiment réfléchir, je me penche sur mon amant et lui glisse à l’oreille : — Appelle mon mari. Dis-lui de me prendre aussi. Par-derrière. Par le cul. L’homme comprend très vite. Il me plaque contre lui, tire sur mes fesses, glisse un doigt dans mon anus et te dit : — Allez, venez, enculez-la. Toi, tu ne te poses même pas la question, si je suis d’accord ou non, et tu t’avances. Je sens ton corps contre le mien. Tu cherches la meilleure position. Chacun bouge et aussitôt je sens ta queue contre mon anus. L’homme tire si fort sur mes fesses que j’ai l’impression que mon sillon va s’ouvrir définitivement. Je crie lorsque tu forces le chemin. Je ne te reconnais pas, tu es plus fort, plus brutal, plus violent. Mais cela ne me déplaît pas, au contraire. J’aime cela, même si la douleur est présente. Souvent j’ai failli te dire de me prendre plus fort, oubliant la tendresse qui te caractérise, même lorsque tu me sodomises. — Oui, va, mon Chéri. Encule-moi ! Mets-moi profond ! Encule ta salope de femme. Je ne reconnais pas ma voix, mais c’est bien moi qui te provoque avec ces mots si crus que je crois n’avoir jamais prononcés avant. D’un coup ...
... de reins tu m’investis. Ton mandrin me dilate, force le passage, se frotte à la bite de l’autre qui est déjà en moi. Ahhhhh ! La douleur s’atténue. Ne reste que la chaleur, la brûlure d’un cul, pourtant habitué à être possédé. Mais vous, les hommes n’en restez pas là. Chacun avance, recule, me baise, m’encule. Je ne suis plus qu’une poupée entre vos mains. Mais une poupée, que les sens, aiguisés à l’extrême, transforment en une boule de plaisir. L’homme a joui le premier alors que toi tu me travailles toujours et… Arrivé à ce stade, le lit de notre chambre s’est transformé en un vaste champ de bataille. Lucie est agenouillée sur le lit, la tête dans les draps et ses dernières paroles se perdent dans le tissu. Sa croupe pointe vers le plafond et je suis accroupi sur elle, ma queue bien enchâssée au creux de ses reins. Et je la sodomise, je l’encule, non pas comme je le fais si souvent avec délicatesse, craignant toujours de la choquer si je suis trop entreprenant, mais comme elle en parle dans son rêve, avec violence, lui défonçant le cul. Cela semble lui plaire. Elle ne cesse de parler, de gémir, de crier. Les draps laissent passer par moment des paroles dignes de la pire des nymphomanes qui encourage un amant. « Bite, cul, défonce, salope, à fond… » Tout un vocabulaire que je n’aurais jamais pensé entendre entre ses lèvres. Mais est-ce la Lucie que je connais ou bien une femme plongée entre rêve et réalité qui ne sait plus très bien où elle en est… En tout cas, pendant que je ...