Justine, Jérôme, Rex et la famille. (1)
Datte: 16/04/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... réussi pas à retrouver sa taille de jeune fille. Papa gagnait très bien sa vie, maman resta à la maison pour s’occupait de nous, de la maison, de papa et d’elle quand elle en avait le temps, tout en conservant sa coquetterie. Comme tous les jumeaux, nous sommes très fusionnels et complices dans nos activités et bêtises. L’esprit naturiste rayait à la maison et d l’enfance à l’adolescence nous avions l’habitude d’être nus à la maison, à l’extérieur dans le jardin, la piscine creusée par papa et aussi à la rivière. Nous ne prêtions aucune attention à nos corps jusqu’aux premières transformations pubères de ma sœur qui l’ont fait se cacher de tout. Le temps a passé, mais pas mes envies de la voir nue. Arriva le jour de notre dix-huitième anniversaire. Maman avait organisé une fête en l’honneur de cet événement. Notre seule tâche de la journée était de nous préparer, de nous faire beaux. Ma sœur, sans doute impatiente, s’était levée aux aurores ; je restais flemmarder au lit, rêvassant à cette journée qui s’annonçait riche en événements, et aussi impatient de découvrir le cadeau que nos parents allaient nous offrir. Quand je me décidai à me présenter pour le petit déjeuner, je fus accueilli par maman qui me souhaita un bon anniversaire tonitruant accompagné d’un baiser sur la bouche, ce qui renforça ma trique matinale. Je ne protestai pas vraiment, à la fois surpris et ravi de cet accueil. — Maman ! Mais... balbutiai-je — Tu es un homme maintenant, mon chéri : voilà huit heures ...
... que tu es majeur ; je voulais te faire le dernier bisou d’amour, et tu as aimé... ! me dit-elle en fixant mon caleçon qui arborait une belle bosse. — Jérôme ! Déjeune, et va te préparer. Sois beau aujourd’hui ; ta sœur a sûrement terminé de s’habiller. — Oui maman. Je déjeunai en quatrième vitesse et montai l’escalier en direction de la salle de bain. J’ouvris la porte, et là, quelle ne fut pas ma surprise ! Je découvris Justine entièrement nue, le nez collé au miroir en train de se maquiller. Je balbutiai un truc du genre : mqdmyyh — Oh ! Pardon je... croyais que tu ... — ...Que je n’étais pas là ? Si, je t’attendais. Bon anniversaire, mon frérot ! Elle me fit face, m’exposant ses formes harmonieuses. Une déesse était là, face à moi, nue, belle, sublime. Ma gorge se serra. Elle vint vers moi et m’embrassa sur la bouche avec fougue, une main dans mon caleçon et l’autre me malaxant les fesses l’une après l’autre. Je me mis à bander instantanément. Je me dégageai sans trop de conviction en lui soufflant : — Tu es folle ! Qu’est-ce que tu fais ? C’est interdit, on n’a pas le droit de faire ça ! — Ça te déplaît peut-être ? répondit-elle tout en me masturbant doucement à travers mon caleçon. Je ne pus rien répondre devant cette évidence. Elle fit glisser mon caleçon au sol, libérant ainsi ma bite qui claqua contre mon bas-ventre. Elle s’agenouilla, prit mon sexe en bouche, et je découvris le plaisir de la fellation. C’était extraordinairement bon, incroyablement doux, irréel, hors ...