1. Première rencontre


    Datte: 21/08/2017, Catégories: fh, hplusag, inconnu, forêt, fsoumise, Masturbation Oral fsodo,

    ... vinrent aux yeux, mais je n’osais rien dire encore, de peur de le décevoir. Je serrai les dents. La douleur continuait tandis qu’il s’enfonçait avec lenteur, me déchirant, me perforant sans relâche, lorsque d’un seul coup je sentis mon muscle céder et son gland pénétrer. Je poussai un cri de douleur. J’essayai de me dégager mais il me maintint, me disant que la douleur allait passer dès que je serais habituée à sentir sa présence. Curieusement sa voix me rassurait et je me laissai aller à nouveau. Nous restâmes immobiles quelques secondes et quand il sentit que j’étais prête, il se mit à faire des petits mouvements, très espacés, toujours pour m’habituer. La douleur refluait, laissant place à une autre sensation, plus sauvage que le plaisir, plus forte aussi. Je laissai échapper un gémissement qu’il prit pour un signal et il se déchaina, me coupant le souffle de ses allers-retours plus rapides. Curieusement, je ne ressentais plus la douleur bien que je sache qu’elle était là, à la frontière. Au contraire, le désir et le plaisir semblaient décuplés de ce fait. Je sentis qu’il manquait quelque chose pour que ce soit parfait et ma main rejoignit mon entrejambe, caressant du haut de ma paume mon clitoris alors que je glissai deux ...
    ... doigts dans ma chatte. Je sentais sa queue qui me pilonnait à travers la mince paroi et je le caressais en même temps. Je ne sais combien de temps cela dura. Enfin je jouis, encore plus fort que la fois précédente, peut être parce que je le sentis jouir en même temps dans mon cul. Nous nous sommes effondrés ensemble dans un dernier râle de plaisir. — Alors ? me demanda-il— Défi réussi ! fut tout ce que je pus articuler. Après quelques minutes, nous nous décidâmes à rejoindre les autres que nous avions abandonnés il y avait déjà plus d’une heure. J’appréhendais un peu leur réaction mais mon compagnon me dit de ne pas m’en faire pour ça, que quoi qu’ils pensent ils étaient trop bien élevés pour faire la moindre remarque. Et, de fait, ils ne firent pas allusion à notre disparition. Ils me ramenèrent sur le parking du supermarché et nous allions nous séparer quand mon amant me donna sa carte en me disant qu’à la rentrée, je n’aurais qu’à l’appeler si je me sentais seule sur le campus. Puis il partit après un dernier baiser. Perplexe, je regardai sa carte sans la voir, me demandant si j’oserai l’appeler ou non. C’est alors qu’un détail m’attira l’œil : j’avais passé l’après-midi à baiser avec un homme et j’ignorais encore son prénom. Marc ! 
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