1. Des vacances très chaudes, Chloé 2.


    Datte: 16/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... sourit et me rend mon baiser. Je prends sa main que la pose sur mon ventre, il déboutonne mon chemisier libérant mon soutien-gorge, j’ai envie de lui, je suis dans un tel état d’excitation que je ne serais plus capable de lui dire non. Il prend un peu d’assurance et enlève mon soutif. Mon absence de réaction lui confirme qu’il peut aller plus loin, ses gestes sont plus assurés mais assez gauche, je vois une certaine fierté dans son regard. Il m’ordonne comme une petite frappe : - Enlève ta jupe salope, je vais te baiser, tu n’attends que ça, petite allumeuse ! Il croit que c’est lui qui mène la danse, le petit con. Je ne peux que lui répondre : - Oui ! Pendant que je retire ma jupe, me retrouvant à poil car je n’avais rien mis dessous, il sort sa queue en pleine érection, se colle à moi et me prend d’un coup sec, sans ménagement, sans avoir pris soin de me faire mouiller par quelques caresses ce con ! Ne sachant que dire : - Huumm ! J’en pouvais plus, putain ! Je grimace et l’engueule mais il accélère, se foutant de mes récriminations. Ses coups sont puissants, heureusement qu’il a une petite bite, le pauvre ! Je fais semblant de pousser de petits cris, mais il arrive quand même à me faire connaître un peu de plaisir, je ressens toute la virilité de ce jeune idiot qui s’y prend comme un manche. Mais sans attendre, en moins 2 minutes il se retire d’un coup, se recule et éjacule entre mes cuisses. C’est pas vrai, il ne m’a même pas fais jouir ce sombre abrutit ! Je suis ...
    ... frustrée, en colère et le lui fais bien comprendre. Il a tellement honte qu’il remonte prestement son jean et va se rasseoir derrière son volant. Je me réajuste et regagne mon siège. Quel petit connard, je n’ouvre plus la bouche et ne lui dis même pas bonsoir quand il me dépose chez ma tante. C’est manqué pour ce premier soir, j’espère qu’il y a quand même dans ce bled un gars avec une « vraie bite » et qui sait s’en servir. Depuis cette soirée, je suis en manque, rien à me mettre dans la chatte. Quelques jours plus tard, mes 2 cousins passent une soirée pyjama chez des copains. La maison est silencieuse, j’ai soif et me lève pour aller chercher une boisson fraîche au frigo. En passant devant la chambre de ma tante, je l’entends gémir, la porte est mal fermée, je la pousse délicatement pour voir dans la pièce. Ils sont en train de faire l’amour mais je les entends parler de moi : -Elle te plaît bien ma nièce, je suis sûre que tu aimerais bien baiser avec elle. Tu sais que dans ma jeunesse, j’étais bi. Si ce n’était pas ma nièce moi aussi j’aimerais la mettre dans mon lit. Je suis estomaquée par ces révélations, ma tante a l’air d’être une sacrée « chaudasse », d’ailleurs sa progéniture en atteste. Elle a les jambes écartées et Paul la doigte avec vigueur en lui broutant le clito. Cette vue me fait mouiller. Si j’avais suffisamment de culot, j’irais me joindre à eux, mais je ne veux pas la gêner. Elle se pétrit la poitrine, martyrisant ses tétons pour les faire saillir d'avantage. Je ...