1. Une douce nuit


    Datte: 16/04/2019, Catégories: fh, inconnu, voisins, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio,

    C’était une fin d’après-midi, son patron lui avait donné congé pour qu’elle puisse aller ranger les boîtes dans son nouvel appartement. Rose avait déménagé il y a quelques jours. Elle et son compagnon s’étaient séparés après cinq ans de vie commune. Dans la dernière année, plus rien n’avait été, sa vie sexuelle était devenue un désert malgré le fait qu’au tout début de leur relation, c’est cela qui les avait réunis. Elle sortit ses clés et ouvrit la porte de son immeuble. Elle monta les marches, lasse à l’idée de devoir déballer tous les cartons. À quelques mètres de sa porte, une autre porte s’ouvrit, un jeune homme en sortit. Il lui adressa la parole. — Salut, tu dois être la nouvelle, je suis Jean.— Bonjour, je suis Rose.— Si tu as besoin de quoi que ce soit, je suis là. Il partit vers les escaliers, elle ne put s’empêcher de regarder les fesses de son voisin avec admiration. Elles étaient fermes et petites, juste comme elle les aimait. Elle secoua la tête pour chasser cette idée de son esprit et elle entra. Elle passa le reste de l’après-midi et de la soirée à défaire les boîtes. Elle remarqua alors qu’il lui manquait un tournevis pour poser sa tablette. Elle sortit et alla cogner à la porte de son gentil voisin. Il ouvrit la porte et sourit. — Que puis-je pour vous, gente demoiselle ? Elle sourit et lui répondit : — La gente demoiselle aurait besoin d’un tournevis en croix. Est-ce que tu en as un que je pourrais t’emprunter, je te le ramène demain sans faute.— Bien sûr, ...
    ... mais je viens avec le tournevis.— Je sais me débrouiller, mais bon, si tu le souhaites. Il disparut dans son appartement et en revint quelque secondes plus tard avec le tournevis. Il ferma la porte et la suivit jusque dans son appartement. — Maintenant que tu es ici, autant t’utiliser… Je voulais poser ces deux tablettes là. Elle lui indiqua l’endroit et le laissa faire son boulot. Pendant ce temps, elle entreprit de mettre son linge dans sa commode et sa penderie. De son côté, Julien travailla plus qu’il ne l’aurait cru, lui qui pensait ne rester que cinq minutes, juste le temps de faire un peu de charme et revenir chez lui. Il dut avouer que la nouvelle lui plaisait bien. Une fois son travail fini, il alla la voir dans sa chambre. Il la vit en train de serrer ses sous-vêtements qui, de plus étaient très jolis. Il se racla la gorge et sourit. Rose sursauta et lâcha ses sous-vêtements par terre. Elle rougit et se dépêcha de tout ramasser. — Tu sais, tu n’as pas à être gênée, j’en ai vu d’autres avant.— Ce n’étaient pas les miens. Jean se pencha et l’aida à tout ramasser et à mettre dans son tiroir. — Voilà, tu n’as plus rien à craindre. Ils sont en sécurité.— Est-ce que je peux t’inviter à souper avec moi pour te remercier, je sais qu’il est tard, mais je n’ai pas encore eu le temps de manger et je n’ai pas envie de manger seule. Je peux faire des pâtes et ma sauce tomate maison…— Ce serait avec plaisir, moi non plus je n’ai pas encore mangé. C’est ainsi qu’ils ouvrirent une ...
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