1. LA MANTE RELIGIEUSE. (4/14)


    Datte: 16/04/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    Après une nouvelle nuit à me faire baiser par mon beau-frère devant mon puceau de mari, je vois Antoine parler à Henri qui a regardé ses freins avant qu’il rejoigne la plaine comme il lui a demandé. Après c’être mis au volant je le vois partir vers la descente du Semnoz en pleine vitesse comme à son habitude. Il est 11 heures quand une camionnette de la gendarmerie entre dans la cour, ma belle-mère sort et je la vois tomber littéralement à genoux devant le gendarme. Compatissante je prends l’imperméable pendu dans l’entrée et je la rejoins « tant en petite tenue. • Antoine a eu un accident dans la descente, il a loupé, un virage et sa voiture à passer dessus un parapet et s’est écrasé 50 mètres plus bas. • Il est blessé. • Non, il est mort. Je fais voir ma compassion en prenant ma belle-mère dans mes bras pour la relever. • Qui êtes-vous, c’est la première fois que je vous voie ? • La femme d’Aurélien mais vous connaissez ma grand-mère qui habite la maison voisine. • Vous êtes la petite fille de Denise. • Oui c’est cela. • La voiture va être remontée et envoyer à l’analyse, avez-vous des doutes sur ce qu’il pourrait c’être passé. • Non, Henri le frère mécanicien a regardé les freins avant et arrière ce matin je l’ai vu sous la voiture à la demande d’Antoine qui se plaignait que ses freins étaient un peu mous. • Merci nous consignons cela dans le procès-verbal, nous verrons après l’analyse, encore toutes nos condoléances. Le fruit dans le ver, en parlant au gendarme qu’Henri ...
    ... est intervenu à l’avant et à l’arrière, lui seul sait qu’il a regardé juste à l’avant. Les frères emmènent leur mère auprès du corps d’Antoine et je reste seul à la ferme avec le beau-père et sa bouteille. J’en profite pour visiter et dans le hangar où sont rangées les grosses machines agricoles je constate qu’Henri travaille à l’intérieur des lames de la coupeuse à Maïs. Je connais ces machines car nous sommes allés en bus dans une des dernières fermes de la région parisienne et le fermier nous a fait monter dans la cabine et je sais comment remettre la protection de sécurité et démarrer le moteur. Quand je reviens dans la cuisine mon beau-père s’est endormi la tête sur la table comme à son habitude. Je le laisse se reposer et je monte à l’étage faire les lits des frères. Dans ce qui aurait dû être ma chambre, j’enlève le drap du dessus et je constate qu’Adrien a expédié beaucoup de cartes de France dans le drap du dessous, il a dû se masturber à mort en revenant de la chambre de feu Antoine. Ce soir je vais dormir seul profitant de la promesse faite à mon amant de jamais me faire sauter par mon mari. Je vais discrètement dans la chambre de mes beaux-parents et comme je suis curieuse j’explore l’armoire lieu des cachettes des gens rustiques. Je tombe sur des cahiers type écolier à petit carreau où des textes sont écrits d’une belle main à l’ancre certainement à la plume sergent-major comme j’en ai vu chez mamy Denise. Le plus vieux date des exploits sexuels de Camille quand ...
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