1. Nicole, prête à tout (8)


    Datte: 17/04/2019, Catégories: Transexuels

    ... Nathalie se mit à ses pieds et commença à lui lécher la chatte. Je terminai de passer mon ensemble qui m’allait bien, trouvait une paire de bas couleur chair que j’accrochai aux jarretelles. Je me regardai dans le miroir. Le string mettait en valeur mon petit cul. — viens, me dit Isabelle entre deux gémissement. Elle dégagea mon sexe et me suça tout en se faisant lécher par la commerçante. — je vais venir, dis-je quelques minutes plus tard Nathalie abandonna la cramouille d’Isabelle et ouvrit sa bouche comme un oiseau attend la béquée. — donne-lui tout, dit Isabelle. Je posai mon gland sur sa lèvre. Nathalie prit mon sexe et le masturba un peu et je déchargeai ma semence sur sa langue. Puis elle se tourna vers Nathalie pour échanger un baiser et partager mon sperme. Elles me léchèrent un peu, puis tout le monde se rhabilla. — Merci pour ce moment, me dit Isabelle. Il y avait longtemps que je ne m’étais pas gouinée avec Nath. — de rien. Mais ce n’était pas prémédité. Elle m’embrassa. Je réglai la guêpière à laquelle Nathalie offrit le string assorti et mon ensemble Aubade. — j’ai encore envie, me dit Isabelle en montant dans la voiture. Elle rentra en trombe au château et n’eut pas la patience de monter dans la chambre. Je la pris en levrette dans la Mini qui n’avait de mini que le nom. Quelques jours plus tard, Isabelle me demanda de faire un test HIV. J’étais clean. Isabelle m’expliqua qu’elle avait cassé le moule et que je pouvais jouir dans son vagin sans crainte de ...
    ... tomber enceinte. Ce que je fis dès le samedi suivant. Mais aussi, et surtout, je gouttais enfin au plaisir de me faire remplir le boyau avec le sperme de mes amants. Sentit la douce liqueur chaude gicler dans mon intestin. Comme l’avait dit Clarisse, c’était divin ! Les vacances de Noël arrivèrent. Enfin, cela ne faisait pas grande différence pour moi puisque j’étais, en quelque sorte, tout le temps en vacances. Payé à rien faire si ce n’est baiser selon les humeurs et les envies des maîtres de maison. Le job idéal pour un faignant comme moi. Elle est pas belle la vie ? Je fis la connaissance des enfants de Jean-Charles et Isabelle : Eléonore et Jean-François, jumeaux de vingt-trois ans. Ils étaient arrivés dans la nuit, provenance presque directe de New-York. Isabelle m’avait parlé d’eux avec fierté. Et il y avait de quoi : Eléonore étudiait à Harvard pour devenir avocat d’affaires internationales ou un truc dans le genre, tandis que Jean-François, Jeff pour les intimes dont je faisais partie désormais, était inscrit au M.I.T. Devant mon air aussi étonné qu’ignare, elle m’expliqua simplement que le M.I.T. était le Massachusetts Institut of technologie, une des plus grandes, sinon la plus grande, école, de sciences au monde. Et Jeff étudiait l’informatique. Je savais ce que c’était qu’un ordinateur, mais jusqu’à présent, il ne me servait qu’à jouer ou envoyer des mails. Quelque chose me disait qu’il ne valait mieux pas que je demande des détails sur les cours de Jeff. Je fus ...