1. Photographe 7


    Datte: 17/04/2019, Catégories: Hardcore,

    ... dressée, malgré moi, la colère sourde visible sur mon visage.« C'était amusant, non? T'aurais dû voir sa tête, j'aurais pu lui faire faire ce que je voulais! »« J'ai vu sa tête. Je voyais tout. Je l'ai vu te déshabiller du regard. Il aurait pu faire n'importe quoi, tu n'as aucune idée de qui c'était! Au point où tu en étais, t'aurais aussi bien pu être le payer en lui taillant une pipe ! »Je me lève. Je passe derrière elle. J'ai besoin de reprendre le contrôle,. Je l'enlace et la serre contre moi, ma queue pressée sur ses fesses. J'agrippe ses seins que je malaxe, profitant de la chair douce et souple.. Son corps réagit. C'est ce qu'elle voulait. Elle tente de m'embrasser mais je la repousse, pressant sa tête vers le sol, le cul dressé et offert. Je saisis ses bras, que je ramène vers l'arrière, lui empêchant tout mouvement. Elle est surprise mais elle se laisse faire, son désir probablement aussi puissant que le mien. Je l'attache à nouveau sexe offert et bien exposé. Je pousse mon sexe en elle, d'un mouvement lent, continu, jusqu'à entrer entièrement. Je suis au plus profond de son corps, immobile.Lentement, je fais un premier va et vient, lui arrachant un soupir. Je marque une pause puis refais le même geste délibéré. Elle me suplie :« Baise moi salop !!! » » ...
    ... Je tire légèrement ses bras, lui faisant redresser le torse, ses seins remuant en tous sens alors que je me met à la baiser sauvagement sous ses encouragements.Alors qu'elle voulait me faire perdre tout contrôle et toute retenue, c'est elle qui a laissé tomber ses barrières et qui prend son plaisir de façon brute, instinctive et sans pudeur. Elle crie, crie encore. Elle jouit une première fois dans un abandon qui lui avait échappé depuis son entrée dans la maison. Suzie s'immobilise, mon sexe encore planté en elle. Je relève son tronc autant que je suis capable, mes mains caressant ses hanches, son ventre, ses seins et effleurant le sommet de son sexe. Je me remet à la bourrer bestialement. Son corps, aux tensions relâchées par son orgasme, se tend à nouveau sous ses sensations inhabituelles. Suzie se laisse secouer, suivant mes mouvements et construisant un nouvel orgasme qui culmine de concert avec le mien.Nous sommes étendus sur le sol. Suzie me regarde, ses yeux brillants, luisants.« Tu vas me manquer... » Me dit-elle en ramassant ses affaires éparpillées un peu partout.Elle m'a embrassé sur la joue, et elle est partie vers sa nouvelle vie. Je suis allé me coucher, épuisé et l'âme légèrement troublée, nostalgique de ce qui aurait pu être, dans une autre vie. 
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