1. Le Club - Partie 31


    Datte: 18/04/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,

    ... se déplaçait librement dans la pièce où elle se trouvait. Christine voulut l'appeler mais la main d'Angel serra un peu plus son poignet pour lui interdire cette option et ce fut en silence qu'elle assista à l'horrible scène. Deux ouvriers entrèrent et virent Sandrine debout. Cette dernière réagit immédiatement se jeta immédiatement à quatre pattes. Les deux hommes s'approchèrent d'elles et commencèrent à lui tourner autour. - Dis-moi, Abdul, fit l'un des deux. J'ai rêvé ou cette chienne s'est prise pour une femme et s'est permis de marcher sur deux pattes. - Non, Shin, répondit l'autre. Tu dois te tromper, c'est un animal et un animal ne peut pas marcher comme une femme. - Pourtant, j'ai cru... - Montre-lui qu'il se trompe, chienne! Comme pour répondre, Sandrine se mit à aboyer à plusieurs reprises. Les deux hommes éclatèrent de rire mais cela ne leur suffit pas. - Il fait chaud ici, remarqua Abdul. Elle doit avoir soif. Il se dirigea vers la table qui se trouvait au milieu de la salle et y récupéra un bol. Il le renversa à quelques centimètres de Sandrine. - Lape! c'est de la bonne soupe, ça te fera du bien. Comme Sandrine hésitait, Shin posa alors brutalement son talon sur sa nuque pour lui coller le visage dans le liquide. Le visage de Sandrine se déforma sous l'effet du dégoût mais elle finit par sortir la langue afin de commencer à laper ce liquide et son expression de détestation s'accentua à chaque lapée qu'elle absorba. Les rires des deux hommes redoublèrent. Ils ...
    ... la firent se redresser et elle dut marcher à quatre pattes dans la moitié de la pièce jusqu'à un coin où se trouvait un gros bouledogue. Ils la forcèrent à s'allonger contre ce chien malodorant qui se sera contre elle et finit par glisser son museau entre ses cuisses. Elle voulut l'écarter mais un coup de botte lui interdit ce geste et elle dut au contraire écarter les jambes afin de faciliter l'exploration de son entrecuisse par les naseaux du chien. Les deux hommes continuaient à rire alors qui le chien enfonçait sa tête entre les jambes de la pauvre Sandrine qui semblait au bord de la dépression. Christine avait totalement oublié les propres douleurs et aurait tout donné pour échanger sa place avec celle de Sandrine mais elle savait que jamais Angel ne l'aurait permis. Il prenait trop de plaisir à la voir ainsi dévorée par le remord. - Il en reste une, rappela Angel en l'obligeant à abandonner sa chère Sandrine toujours soumise aux explorations contre-nature du bouledogue. Ils se retrouvèrent dans la cour du camp des ouvriers. - Comme tu le vois, il n'y a plus de baraquement commun, expliqua le maître des lieux. Anne-Marie n'est pas devenue la chienne de toute une équipe d'ouvriers en rut comme les autres. Dès qu'elle est arrivée, elle a fait succomber le contremaître du chantier. Cela ne veut pas dire qu'elle a eu plus de chance que les autres car il se trouve que ce cher homme a des goûts...particuliers. Ils entrèrent dans une petite baraque pour se retrouver dans une ...
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