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Marie et le sculpteur aveugle (10)
Datte: 18/04/2019, Catégories: Erotique,
... offrant la vision de mon con violé et en train de jouir aux regards lubriques des deux voyeurs… Je gémis de bonheur et contracte mon vagin trempé sur ses doigts. Ma tête part en arrière. Brigitte la saisit de sa main gauche et me force à la tourner vers elle. Nos bouches se collent. Elle m’embrasse passionnément et force mes lèvres à s’écarter avec sa langue qui me pénètre loin dans la bouche. Je me sens prise de tous côtés ! C’est l’extase !!! Devant le spectacle improbable, Robert est le premier à gicler ! Sa semence vole en plusieurs salves qui s’écrasent sur mes cuisses alors que prise d’un spasme violent, je me cambre en m’arcboutant, décolle mon corps de celui de Brigitte. Manuel, les yeux exorbités et la bite dirigée droite sur moi, ne peut retenir un grognement de bête et éjacule à son tour. Son sperme gicle fort et zèbre mon ventre et le bras de Brigitte en plusieurs endroits. Je pousse un long et méchant râle qui emplit tout l’atelier et retombe sur Brigitte alors qu’elle continue de me branler doucement sans s’arrêter, prolongeant l’orgasme à son maximum. Je suis au septième ciel. Mes yeux se révulsent et mon corps se fige. Je jouis sur ses doigts sur lesquels ma chatte se crispe, tandis que le Prof , indifférent (?) ne cesse de me malaxer les seins avec un zèle inconnu jusqu’alors. Manuel, crispé sur ses deux jambes, le sexe tendu vers nous, s’astique toujours et n’en finit pas de se vider. Robert, la bite encore dure et dégoulinante, fait des clichés sous tous ...
... les angles et des gros plans de ma fente béante avec les doigts gluants de Brigitte qui poussent dedans... « Bien; vous voulez peut-être faire une pause les filles ? » demande le Prof qui comprend bien ce qui se passe. « On continuera demain; on a bien avancé déjà » Je n’ose pas regarder les autres dans les yeux tellement j’ai honte; honte d’avoir jouis entre les mains d’une autre fille ! Je ne suis pas lesbienne quand même ! Je me relève difficilement. Brigitte et Robert encore à poil, la queue toujours gonflée qui se balance entre ses jambes, m’aident. Manuel essaye difficilement de rentrer son engin dégoulinant de foutre et encore dur dans son froc. Je reste à quatre patte un instant. Brigitte s’assoit à côté de moi et m’enlace tendrement. « Ose dire que ce n’était pas bon... » fait-t-elle avec un sourire transformé. Ce n’est plus de la moquerie mais de la tendresse. Je la fixe dans les yeux et lui réponds par un sourire timide. Elle me fixe à son tour avec ses grands yeux de biche. Elle a perdu son sourire. Sa bouche pulpeuse entrouverte s’approche de la mienne. Je m’apprête à la laisser faire quand le Prof nous propose d’aller nous doucher et qu’il va nous apporter des citronnades. Je me recule au dernier moment, à la grande déception de Brigitte, mais aussi de Manuel et Robert qui se sont figés au moment où nos lèvres allaient se toucher. Je vais donc me doucher pour refroidir mes ardeurs et reprendre mes esprits. Elle me rejoint mais reste à distance, comme pour ne pas ...